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    LA LIGUE 1 CONFORAMA : SAISON 2019-2020

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    Message par Admin Jeu 22 Aoû - 15:40

    LA LIGUE 1 CONFORAMA : SAISON 2019-2020

    Mains involontaires, pied sur la ligne, célébrations… les nouvelles règles en Ligue 1 à connaître


    LA LIGUE 1 CONFORAMA : SAISON 2019-2020 ECPCu-1W4AE50Oz?format=jpg&name=small
    Décidées en mars par l’International Football Association Board (IFAB), ces nouvelles lois du jeu s’appliqueront pour le nouvel exercice de l’Elite. ici la main de Dante non sifflée samedi dernier lors du match Nîmes-Nice et qui a fait polémique, de même que le pénalty accordé au PSG face à Nîmes suite à une main contestable de Martinez, que seule la VAR avait vue à la surprise générale. Nîmes a déjà subi 2 pénalties pour le moins très litigieux, s'est vu refusé un penalty à priori évident et n'a bénéficié que d'1 pénalty pour une faute incontestable, grâce à la VAR ! (photo ML) 

    La saison de Ligue 1 2019-2020, qui a commencé le vendredi 9 août, a vu les arrivées de nouveaux joueurs et entraineurs (fin du mercato estival, le 2 septembre 2019). Mais aussi de nouvelles règles d’arbitrage.
    Décidées en mars par l’International Football Association Board (IFAB), ces nouvelles lois du jeu s’appliqueront pour le nouvel exercice de l’Elite. Voici les principales.


    Les mains involontaires dans la surface
    C’est la grande question à chaque fois. Comment définit-on si une main est accidentelle ou non intentionnelle ? L’IFAB a décidé d’éclairer le règlement. L’arbitre devra invalider tout but inscrit de la main ou du bras. Il sifflera également faute si un joueur récupère le ballon après l’avoir touché du bras ou de la main et marque un but ou crée une occasion de but.
    Même chose lorsqu’un joueur touchera le ballon du bras ou de la main en ayant augmenté la surface couverte par son corps ou que son bras ou sa main sera au-dessus du niveau de l’épaule. A noter qu’il n’y aura pas de sanction si un joueur touche le ballon de la main en tombant avec le bras positionné entre son corps et le sol pour amortir la chute.

    La formation des murs sur coup franc
    C’est une petite révolution. Les coéquipiers du tireur n’auront plus le droit de se placer dans le mur pour gêner les adversaires. Ils devront se tenir à au moins un mètre du mur.

    Le gardien et les pénalty
    L’attitude du gardien sur les pénaltys a également été revu. Les portiers ne pourront plus toucher leurs poteaux, leur barre transversale et leurs filets pour déstabiliser le tireur. Ils devront également avoir au moins un pied sur leur ligne au moment du tir et non plus obligatoirement les deux comme auparavant.

    Les coups de pied de but / six mètres
    Le gardien (ou un autre tireur) aura la possibilité de passer le ballon à un coéquipier dans la surface. Toutefois, les adversaires devront rester en dehors de la surface de réparation.

    Les remplacements
    Désormais, un joueur remplacé devra désormais quitter rapidement la pelouse par l‘endroit le plus proche. Il ne sera donc plus obligé de sortir au niveau de la ligne médiane.

    Les contestations sur le banc de touche
    Les membres du staff se comportant de manière non appropriée sur le banc de touche ou dans la zone technique pourront être sanctionnés d’un carton jaune ou rouge. Si le fautif ne peut être identifié, c’est l’entraîneur principal qui recevra le carton.

    Carton jaune maintenu même si but refusé
    Si un joueur reçoit un carton jaune pour avoir célébré un but de manière « illicite », l’avertissement sera maintenu même si le but est finalement annulé.

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    LA LIGUE 1 CONFORAMA : SAISON 2019-2020 Empty Re: LA LIGUE 1 CONFORAMA : SAISON 2019-2020

    Message par Admin Mar 10 Sep - 12:46

    Homophobie : Noël Le Graët demande aux arbitres de ne plus arrêter les matches

    Le président de la FFF demande aux arbitres de ne plus arrêter les matches pour des chants à caractère homophobe dès la prochaine journée de Championnat.

    Alors que de nombreux matches de Ligue 1 et Ligue 2 ont été arrêtés depuis le début de la saison pour des chants et banderoles à caractère homophobe, le président de la FFF a demandé mardi sur Franceinfo aux arbitres de ne plus arrêter les rencontres. « Je n'arrêterai pas les matches, je suis contre totalement. » Il « espère » d'ailleurs que les arbitres suivront sa consigne.

    « Je vais être tout à fait clair. Le football reçoit tout le monde, toutes les classes sociales. Je suis totalement contre. Je ne veux pas être pris en otage sur l'homophobie. »

    « C'est une erreur (d'arrêter les matches pour des chants homophobes). Mais je ferai arrêter un match pour des cris racistes » ou pour des raisons de sécurité, a-t-il précisé.

    « Considérer que le football est homophobe, c'est un peu fort de café. Je n'accepte pas, a déclaré Le Graët. On va faire en sorte que ça disparaisse mais l'arrêt des matches c'est autre chose. Le jeu c'est quelque chose de compliqué, de beau quand on regarde. [...] On va faire en sorte qu'il n'y ait plus de banderoles. Mais arrêter les matches, non. »

    Homophobie dans les stades : Roxana Maracineanu « étonnée » par les propos de Noël Le Graët

    « Pour être clair, je trouve qu'on arrête trop de matches. Cela fait plaisir à certains ministres, mais moi, ça me gêne. [...] On a l'impression que, tout à coup, tous les stades sont devenus des lieux homophobes. Je conteste avec véhémence cette image qu'on donne de nous. » Les propos de Noël Le Graët, le président de la FFF, dans son interview accordée à Ouest-France la semaine dernière concernant les interruptions de match à la suite de propos ou de banderoles jugés homophobes, ont fait réagir la ministre des Sports.

    Roxana Maracineanu avait fait part de son étonnement dans un message posté ce samedi sur son compte Facebook. « Je suis étonnée par les propos de Noël Le Graët. Je le sais engagé dans la lutte contre les discriminations, nous en avons parlé en avril dernier lorsqu'il a valorisé les actions de prévention de la Fédération Française de Football et s'est dit prêt à aller plus loin", commence la ministre. "Il faut rappeler que l'homophobie est considérée comme une discrimination dans notre société..."



    Source : FF
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    LA LIGUE 1 CONFORAMA : SAISON 2019-2020 Empty Re: LA LIGUE 1 CONFORAMA : SAISON 2019-2020

    Message par Admin Jeu 3 Oct - 15:17

    Ligue 1 : à quoi sert vraiment un directeur sportif ?

    En France, les directeurs sportifs partagent une même appellation mais ne font pas tous le même métier. Décryptage d'un rôle essentiel mais différent dans presque chaque club de Ligue 1.

    LA LIGUE 1 CONFORAMA : SAISON 2019-2020 Image
    Laurent Boissier (Nîmes olympique)

    Hugo Guillemet - l'Equipe

    le 2 octobre 2019

    Le récent réajustement du président de l'Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, vis-à-vis des fonctions opérationnelles de Juninho a fait remonter une question à la surface. C'est quoi, au juste, un directeur sportif ? Quel est son rôle ? Son terrain d'expression ? Ses prérogatives techniques ? Administratives ? Il semblerait qu'à l'OL, en plus du recrutement et de la gestion de l'effectif, Aulas souhaite voir le Brésilien plus proche du terrain et de l'entraîneur Sylvinho, tel un tuteur technique. Mais il lui demande aussi de communiquer à sa place après les matches, et d'incarner le club, en vertu de son image.
    En gros, JMA veut que Juninho s'impose comme le patron de l'OL, même si rien ne changera, à court terme, car le boss, c'est lui. « Il y a peut-être un problème de nomenclature car Aulas parle de directeur sportif, mais en réalité, ce qu'il souhaite voir en Juninho, c'est un manager général, analyse un agent bien implanté à l'OL. C'est comme pour Leonardo au PSG : on est au-delà des fonctions d'un directeur sportif car on a une figure forte qui a le contrôle sur presque toutes les composantes du club et qui se substitue à un président plus en retrait sportivement et médiatiquement. »
    Parfois simplement en charge du recrutement
    Tout n'était donc pas encore très clair sur la fiche de poste, du moins jusqu'à il y a quelques jours, puisque Jean-Michel Aulas a dû rappeler dans les colonnes de L'Équipe ce qu'il attendait de Juninho. En Ligue 1, il semblerait qu'il y ait presque autant de manières de fonctionner que de clubs, et un directeur sportif ne remplit pas le même rôle à Lille, Brest, Strasbourg ou Montpellier. Chez les Héraultais, par exemple, le pouvoir sportif est représenté par le président, c'est dans l'ADN du club, mais il a quand même un directeur, Bruno Carotti. « Notre fonctionnement nous correspond, explique le patron, Laurent Nicollin. Je m'appuie sur Bruno pour le recrutement, la gestion du groupe et des agents : il en a certains dans ses contacts, j'en ai d'autres. On travaille quotidiennement ensemble. »
    À défaut de complètement diriger la politique sportive de tout le club, Carotti serait donc plutôt un « directeur du recrutement », comme il en existe à Strasbourg ou Toulouse, par exemple, qui n'ont pas de directeur sportif dans leur organigramme. « Je prends part aux négociations, avec les agents notamment. Je peux négocier un salaire ou une durée de contrat avec un joueur, mais je ne négocie pas de club à club, détaille Dominique Arribagé, celui du TFC. Notre cheminement est simple, il n'y a pas cinquante interlocuteurs. »
    En Alsace, même formule avec Loïc Désiré, pion essentiel du secteur sportif alsacien mais totalement effacé médiatiquement, comme Arribagé. « J'ai mis la cellule en place, je la coordonne, puis je vais voir les joueurs avant d'en parler au coach, énumère Désiré. Je ne suis pas dans la négociation à proprement parler, même si je dégrossis le travail : mon rôle est de connaître les prétentions du joueur, son coût de transfert... Ce qu'il faut pour que l'organisation fonctionne, c'est que tout soit très clair dès le départ. C'est ce qui me plaît ici. » Au Racing, le sportif se discute donc entre l'entraîneur Thierry Laurey, Désiré et le président Marc Keller, qui conserve le pouvoir de décision final. Romain Giraud, le secrétaire général, gère l'administratif tandis que Kader Mangane, coordinateur sportif, est là pour mettre du liant entre le groupe professionnel et toutes les composantes du club. Un rôle que remplit Pantxi Sirieix à Toulouse.
    À Brest, Angers, Nîmes ou Reims, des pouvoirs étendus
    La clef de réussite du fonctionnement est donc qu'il soit très précisément déterminé en amont. « C'est la base, appuie Grégory Lorenzi, directeur sportif de Brest. Nous, on a un président (Denis Le Saint) qui ne peut pas toujours être là au club au quotidien à cause de ses obligations professionnelles. Ma partie est la direction sportive, donc chaque décision en lien avec le sportif, je la prends. Mais mon rôle n'est pas d'intervenir dans l'équipe, il y a un coach pour ça. C'est important de laisser un entraîneur travailler sans pression, car sinon ce serait pour lui la meilleure manière de se tromper. » Lorenzi est donc un directeur sportif avec un pouvoir étendu. Par exemple, et pour reprendre deux autres clubs cités plus haut, il a traité directement avec Laurent Nicollin, cet été, pour le transfert de Paul Lasne. Pour vendre Ibrahima Sissoko à Strasbourg, l'an dernier, c'était pareil : une négociation entre lui et Marc Keller. « On est en circuit très fermé, précise-t-il. Le président-moi-le coach, le coach-moi-le président. »
    Un fonctionnement un peu similaire à ceux d'Angers où de Nîmes, avec des présidents qui délèguent beaucoup. Au SCO, Saïd Chabane est assez effacé au profit d'Olivier Pickeu.
    Chez les Crocos, Laurent Boissier dirige le club au quotidien, à sa manière et surtout avec ses moyens. « Quand on a besoin d'un joueur, je dois le trouver, le superviser, puis le contacter, le convaincre de rejoindre notre club sans pouvoir lui promettre des millions, emmener la négociation et puis si ça fonctionne, je vais aussi le chercher en voiture à la gare, décrit-il. Après, je l'aide souvent à trouver son logement avec mon épouse qui fait ça gracieusement, à s'installer, j'en suis presque à l'accompagner aux courses et à lui monter ses meubles (rires.) »
    « Le LOSC a le plus grand directeur sportif de France. Mais Luis Campos ne se mêle pas de la tactique mise en place par Christophe Galtier » - Un agent
    « On peut dénommer la fonction comme on le souhaite, mais l'important c'est de rester dans ses prérogatives, insiste Lorenzi. Aujourd'hui, on voit des coordinateurs sportifs, des conseillers du président, des directeurs généraux... C'est embêtant lorsqu'il y a trop de gens dans le processus de décision. Pour moi, moins il y en a, mieux c'est. » Un peu comme à Reims, aussi, où Mathieu Lacour, directeur général dans l'organigramme, contrôle l'ensemble des périmètres administratifs et sportifs. « Sur la plupart des dossiers, je mène la négociation de A à Z, explique-t-il. Tout le monde sait qu'il y a une porte d'entrée au club sur l'opérationnel et que c'est moi. En revanche, le club est incarné par le président Jean-Pierre Caillot et c'est très important. On n'est pas une multinationale. Ce qui compte, c'est la fluidité du processus décisionnel, qui nous permet d'emporter certains dossiers. »
    Comme celui du défenseur Dario Maresic, par exemple, en toute fin du dernier mercato. Au moment où le Stade de Reims a appelé les agents du jeune Autrichien, ces derniers étaient à Hoffenheim (D 1 ALL) pour signer. Mais Reims a pu produire une offre à Sturm Graz et une proposition salariale au joueur dans la journée, ce qui a renversé le dossier. « On peut sortir une offre de transfert en trente minutes, appuie Lacour. Ce qui compte, souvent, c'est la réactivité. Et nous, on n'est pas huit à décider. »
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    LA LIGUE 1 CONFORAMA : SAISON 2019-2020 Empty Re: LA LIGUE 1 CONFORAMA : SAISON 2019-2020

    Message par Admin Sam 12 Oct - 12:03

    L1 - Trois entraîneurs virés après neuf journées de Ligue 1, un record.

    Après le départ d'Alain Casanova à Toulouse (remplacé par Antoine Kombouaré), et les licenciements de Ghislain Printant (supplée par Claude Puel) et Sylvinho (dont le successeur est Rudi Garcia), respectivement à Saint-Étienne et Lyon, trois entraîneurs ont été démis de leur fonction cette saison en Ligue 1.

    Pour la deuxième année d'affilée, trois clubs de Ligue 1 se sont séparés de leur entraîneur après neuf journées.

    Il s'agit d'un record depuis la saison 1998-1999 et les évictions de Denis Troch (Troyes), Alain Giresse (Paris-SG) et Henryk Kasperczak (Bastia).


    Source : Équipe
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    Message par Admin Lun 21 Oct - 22:32

    La Ligue 1 plus imprévisible que jamais.

    On ne sait pas trop si on aime... ou pas. Depuis plusieurs années, derrière Paris, ce sont les mêmes équipes qui émergent : Lyon, Marseille, Monaco, Lille, Saint-Étienne, Rennes voire Bordeaux. Cette saison, avec les difficultés rencontrées par les «gros» du Championnat, on a le sentiment que tout est bien plus ouvert, en haut comme en bas du classement. Pour exemple, en deux victoires, les Verts sont passés de lanterne rouge à dixièmes du classement. Aujourd'hui, après dix journées, cinq points séparent le troisième du quinzième. Pour celui qui voit le verre à moitié plein, le suspense risque bien d'être haletant jusqu'à la 38e journée. Pour celui qui le voit à moitié vide, cela peut aussi signifier que le niveau moyen de la Ligue 1 est faible, et qu'ainsi tout le monde peut battre tout le monde. Chacun se fera son avis sur le sujet...

    Source : FF
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    Message par Admin Lun 25 Nov - 12:36

    Combien coûtent les billets des stades de la Ligue 1 en 2019-20 ?

    24 novembre 2019

    Quel est le prix minimum pour assister à un match de la Ligue 1, en tribunes des stades ?

    A l’instant pour nous d’écrire ces lignes, plus de 3 millions de spectateurs cumulés ont franchi les portes d’un stade pour suivre un match de Ligue 1, cette saison 2019-2O. Selon nos observations à Sportune, ils ont payé une moyenne de 10,5 euros, comme le prix d’un billet le moins cher pour une rencontre de l’élite du football français. C’est peu ou prou l’équivalent à l’OGC Nice, l’ASSE, le LOSC, l’OL ou l’AS Monaco.

    L’ASSE, le LOSC ou l’OGC Nice dans la moyenne de la Ligue 1

    Les Girondins de Bordeaux et le Stade Brestois pratiquent les prix les plus bas, à partir de 5 euros, mais parfois comme à la Matmut Atlantique ils peuvent flirter avec les 100 euros pour les plus onéreux et mieux centrés. A 5 euros, comme proposé pour le prochain face à Nîmes, la place est en virage ou dans un coin du stade. A l’opposé l’Orange Vélodrome de l’OM et le Parc des Princes du PSG sont les moins accessibles, car les plus chers à plus de 15 euros. Et parfois beaucoup plus pour voir les champions de France à domicile, car l’écrin de la Porte d’Auteuil affiche un taux de remplissage proche de 100%.

    Les plus chers pour voir le PSG, l’OM ou le Nîmes Olympique

    Au Parc des Princes, les billets peuvent grimper jusqu’à 180 euros, hors affiches premium et Ligue des champions, jusqu’à 120 euros à l’Orange Vélodrome de Marseille et 130 euros au stade Louis II de Monaco. Les prix sont, enfin, sensiblement moins chers en France que chez nos proches voisins européens, surtout la très riche Premier League anglaise.

    Ce que coûtent les billets des stades de la Ligue 1, saison 2019-20 *

    Moins de 10€

    Bordeaux, Brest, Dijon, Montpellier, Nantes, Nice, Lyon, Reims, Toulouse

    De 10 à 15€

    Amiens, Angers, Lille, Metz, Monaco, Rennes, Saint-Etienne, Strasbourg

    De 15 à 20€

    Nîmes,
    Marseille, Paris

    * Tarifs constatés pour un premier prix, hors matches de gala et autres spécificités propres à chaque club.


    Source : Sportune

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