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J 14 - Rien ne va plus pour le Nîmes Olympique, une nouvelle fois battu à domicile face à Niort (1-2). Battu par Niort (1-2), samedi soir, Nîmes ne répond plus !
Triste série de neuf rencontres sans succès pour les Crocos de Zinedine Ferhat (photo Midi Libre)
Le Nîmes Olympique s'est une nouvelle fois incliné face à Niort aux Costières, ce samedi 30 octobre à l'occasion de la 14e journée de Ligue 2. Les Crocos enchaînent un neuvième match sans succès.
Sans réellement briller, les Niortais ont fait le boulot pour trouver le chemin des filets sur leurs seules réelles occasions dans ce match. Zemzemi avait ouvert le score (25e), Mendes faisait le break au retour des vestiaires (51e) récompensant son très bon match. Dans la foulée, Eliasson (54e) était parvenu à réduire l'écart. Le Nîmes Olympique n'a pas assez poussé pour réussir à égaliser. C'est donc un neuvième match sans succès pour les Crocos.
Ligue 2 /14e journée. Ce samedi 30 octobre les Crocos de Plancque n'ont pas trouvé la solution et enchaîne une neuvième rencontre sans victoire.
On aurait mieux fait d’aller au stade Raymond-Roure plutôt qu’aux Costières, ce samedi soir. À 15 kilomètres de Nîmes, Langlade, le Petit Poucet gardois de la Coupe de France (équipe de Départemental 2, 10e niveau national), se transcendait pour signer un nouvel exploit et éliminer Albères-Argelès (N3), supérieur de cinq divisions.
Il y a longtemps que les Crocos, eux, ne transcendent plus personne. Cela fait 70 jours qu’ils n’ont plus gagné un match, un soir d’été à Dunkerque. Depuis, ils creusent. Pascal Plancque survivra-t-il à cette abominable série de neuf rencontres sans victoire ? Cela paraît difficilement tenable, même si Bernard Blaquart avait été maintenu dans le même cas, fin 2018. Mais c’était en Ligue 1.
D’ailleurs, Plancque a essayé de la jouer comme Blaquart, avec un 4-4-2 qui ressemblait avec un 4-2-4, Koné partageant l’axe avec Ferhat. Le coach a tenté des choses. Il a sorti Ponceau, inamovible titulaire sans stat’ (0 but, 0 passe décisive). Il a relancé Paquiez pour insuffler un peu d’esprit nîmois. Il n’a aligné aucune recrue au coup d’envoi. Rien n’y a fait.
Car le problème, c’est la dynamique. Ou plutôt l’absence de dynamisme. Ni les joueurs, qui ont pourtant des qualités et dont on a l’impression qu’ils ne savent pas ce qui leur arrive, ni le staff, ni le directeur sportif Reda Hammache, ni le président Rani Assaf, qui a parlé au groupe et en particulier à Ferhat cette semaine, ne parviennent à l’insuffler.
Quand Ferhat s’explique avec les supporters…
Ferhat, lui, le meilleur Nîmois de la saison passée, a parlé avec les rares supporters qui n’avaient pas boycotté le Pesage à 15 €. Ou il s’est expliqué, plutôt, dans une scène surréaliste. Une fois la mi-temps sifflée, invectivé, il a couru vers eux dans ce qui ne fut pas loin d’être la meilleure action de son match…
S’il n’avait pas raté le ballon devant le but, l’Algérien aurait ouvert le score (21e) et cela aurait pu changer quelque chose. Mais avec des si…
Nîmes a eu le ballon, Nîmes a beaucoup centré, a eu neuf corners, mais n’a rien fait de toutes ses munitions. C’est une statistique incroyable : lors de ses six dernières sorties, NO a toujours eu au moins 54 % de possession (67 % contre Niort). Résultat : un point sur 18 possibles, un nul et cinq défaites !
Eliasson a surnagé
En face, les Chamois ont gambadé sur les phases de transition. Trois tirs cadrés, deux buts, signés Zemzemi (25e, 0-1, après avoir mystifié Guessoum) et Mendes (51e, 0-2, après avoir éliminé Paquiez). L’énergie du désespoir a permis de réduire l’écart grâce à un numéro personnel d’Eliasson, seul Crocodile à avoir fait des différences (54e, 1-2). Mais pas d’égaliser sur un dernier coup de billard (88e). Nîmes Olympique est en échec. Échec et match ? On va vite savoir.
En tout cas, les absents n’ont pas eu tort. Pour finir, on suggérera d’ailleurs une faveur à Rani Assaf : rembourser les 1 174 spectateurs de la rencontre. Ils le mériteraient.
Source : Midi Libre
Les notes des Crocos face à Niort
Le Croco clé
Kelyan Guessoum (2/10) : Un match à oublier pour le défenseur central nîmois qui s'est fait martyriser par Mendes, l'avant-centre niortais. En retard sur son intervention sur Zemzemi, il doit laisser filer le meneur de jeu chamois pour l'ouverture du score (25e). Il lâche ensuite le marquage sur Mendes sur le second but (51e), avant de se faire avertir pour un tacle mal maîtrisé (66e).
Au cas par cas
Lucas Dias (4/10) : Pas irréprochable sur l'ouverture score en angle fermé de Zemzemi, Dias ne peut rien sur le second but niortais. Sans être catastrophique, le portier nîmois s'est incliné à deux reprises sur les trois tirs cadrés chamois.
Gaëtan Paquiez (3/10) : Un match en deux temps pour Paquiez. Plutôt bon en première période, à l'image de son pressing gagnant dans la surface niortaise en début de match, il a sombré après la pause. Alors qu'il avait maîtrisé Vallier jusqu'alors, Paquiez rate complètement son intervention sur ce dernier au retour des vestiaires pour le second but niortais. Par la suite, il a enchaîné les mauvaises transmissions et les approximations défensives.
Naomichi Ueda (3/10) : Un peu mieux que son compère de la charnière, Ueda a raté quelques relances comme celle plein axe juste avant la mi-temps. Il a par deux fois laissé trop d'espace à Zemzemi sur l'ouverture du score puis à la 77e, sur l'une des meilleures opportunités niortaises de la seconde période.
Théo Sainte-Luce (5/10) : Très en jambe, il a multiplié les montées offensives, distillé quelques bons centres et plutôt bien maîtrisé Boutobba. Par deux fois en position favorable (43e, 72e) il a complètement raté des tirs qui auraient pu remettre Nîmes dans la partie.
Andrés Cubas (5/10) : Discret balle au pied en première période, il s'est comporté en patron après la pause, récupérant de nombreux ballons et prenant enfin ses responsabilités à la relance. Son double changement d'aile a amené la réduction de l'écart d'Eliasson (53e).
Lamine Fomba (3/10) : Très peu vu ce samedi, Fomba n'a pas apporté grand chose dans l'entrejeu, enchaînant les passes latérales ou vers l'arrière. Remplacé par Ponceau (67e) qui a tenté d'apporter son dynamisme.
Niclas Eliasson (5/10) : Une perte de balle dans ses 30 mètres en début de match avant de se mettre dans la partie. Eliasson a été le joueur offensif le plus percutant côté nîmois, éliminant régulièrement ses vis-à-vis. Il a été récompensé par un but un peu chanceux sur un centre-tir (53e). Plus discret par la suite, il s'est souvent fait bouger à l'épaule.
Yassine Benrahou (4/10) : Un coup franc cadré mais peu dangereux, quelques bons centres comme celui pour Sainte Luce (43e), Benrahou a tenté de décrocher pour orienter le jeu nîmois mais n'a pas vraiment créé de différences. Remplacé par Ómarsson, volontaire mais sevré de bons ballons.
Zinédine Ferhat (2/10) : Repositionné à la pointe de l'attaque, Ferhat s'est montré actif mais a pêché dans la spontanéité. Il n'a créé aucune différence et a souvent ralenti le jeu par des touches de balle superflues. En position idéale, il manque inexplicablement l'ouverture du score dans le premier quart d'heure. Une action qui aurait pu tout changer.
Moussa Koné (3/10) : Quelques ballons conservés dos au but, une belle inspiration en aile de pigeon pour lancer Eliasson côté droit, et c'est tout. Le co-meilleur buteur du Nîmes Olympique a trop peu pesé sur la partie. Remplacé par Delpech (78e), proche de provoquer un contre son camp sur corner.
Entraîneur Pascal Planque (3/10) : Son 4-4-2 avec Ferhat en pointe n'a franchement pas été une réussite. Son coaching n'a pas fait la différence et il est apparu sans solution.
L’arbitre - M.Thual (5/10) : Il a sans doute un peu trop haché la partie par ses coups de sifflet à répétition. Un corner oublié pour les Nîmois et pas mal d'indulgence pour Guessoum qui aurait pu être expulsé après plusieurs fautes grossières.
L’adversaire - Niort (6/10) : Trois tirs cadrés, deux buts : le réalisme clinique d'une équipe en confiance qui n'a pourtant pas paru impériale défensivement face aux timides assauts nîmois.
Le match (4/10) : Un match haché par les fautes et les erreurs techniques qui s'est décanté sur des errements défensifs nîmois.
Les joueurs sont notés à partir de 45 minutes de jeu. Le barème est le suivant : 0/10 : joueur expulsé ; 1/10 : match catastrophique ; 2/10 : Très mauvais match ; 3/10 : mauvais match ; 4/10 : match médiocre ; 5/10 : match correct ; 6/10 : assez bon match ; 7/10 : bon match ; 8/10 : excellent match ; 9/10 : match exceptionnel ; 10/10 : match parfait.
Source : Objectif Gard
Triste série de neuf rencontres sans succès pour les Crocos de Zinedine Ferhat (photo Midi Libre)
Le Nîmes Olympique s'est une nouvelle fois incliné face à Niort aux Costières, ce samedi 30 octobre à l'occasion de la 14e journée de Ligue 2. Les Crocos enchaînent un neuvième match sans succès.
Sans réellement briller, les Niortais ont fait le boulot pour trouver le chemin des filets sur leurs seules réelles occasions dans ce match. Zemzemi avait ouvert le score (25e), Mendes faisait le break au retour des vestiaires (51e) récompensant son très bon match. Dans la foulée, Eliasson (54e) était parvenu à réduire l'écart. Le Nîmes Olympique n'a pas assez poussé pour réussir à égaliser. C'est donc un neuvième match sans succès pour les Crocos.
Ligue 2 /14e journée. Ce samedi 30 octobre les Crocos de Plancque n'ont pas trouvé la solution et enchaîne une neuvième rencontre sans victoire.
On aurait mieux fait d’aller au stade Raymond-Roure plutôt qu’aux Costières, ce samedi soir. À 15 kilomètres de Nîmes, Langlade, le Petit Poucet gardois de la Coupe de France (équipe de Départemental 2, 10e niveau national), se transcendait pour signer un nouvel exploit et éliminer Albères-Argelès (N3), supérieur de cinq divisions.
Il y a longtemps que les Crocos, eux, ne transcendent plus personne. Cela fait 70 jours qu’ils n’ont plus gagné un match, un soir d’été à Dunkerque. Depuis, ils creusent. Pascal Plancque survivra-t-il à cette abominable série de neuf rencontres sans victoire ? Cela paraît difficilement tenable, même si Bernard Blaquart avait été maintenu dans le même cas, fin 2018. Mais c’était en Ligue 1.
D’ailleurs, Plancque a essayé de la jouer comme Blaquart, avec un 4-4-2 qui ressemblait avec un 4-2-4, Koné partageant l’axe avec Ferhat. Le coach a tenté des choses. Il a sorti Ponceau, inamovible titulaire sans stat’ (0 but, 0 passe décisive). Il a relancé Paquiez pour insuffler un peu d’esprit nîmois. Il n’a aligné aucune recrue au coup d’envoi. Rien n’y a fait.
Car le problème, c’est la dynamique. Ou plutôt l’absence de dynamisme. Ni les joueurs, qui ont pourtant des qualités et dont on a l’impression qu’ils ne savent pas ce qui leur arrive, ni le staff, ni le directeur sportif Reda Hammache, ni le président Rani Assaf, qui a parlé au groupe et en particulier à Ferhat cette semaine, ne parviennent à l’insuffler.
Quand Ferhat s’explique avec les supporters…
Ferhat, lui, le meilleur Nîmois de la saison passée, a parlé avec les rares supporters qui n’avaient pas boycotté le Pesage à 15 €. Ou il s’est expliqué, plutôt, dans une scène surréaliste. Une fois la mi-temps sifflée, invectivé, il a couru vers eux dans ce qui ne fut pas loin d’être la meilleure action de son match…
S’il n’avait pas raté le ballon devant le but, l’Algérien aurait ouvert le score (21e) et cela aurait pu changer quelque chose. Mais avec des si…
Nîmes a eu le ballon, Nîmes a beaucoup centré, a eu neuf corners, mais n’a rien fait de toutes ses munitions. C’est une statistique incroyable : lors de ses six dernières sorties, NO a toujours eu au moins 54 % de possession (67 % contre Niort). Résultat : un point sur 18 possibles, un nul et cinq défaites !
Eliasson a surnagé
En face, les Chamois ont gambadé sur les phases de transition. Trois tirs cadrés, deux buts, signés Zemzemi (25e, 0-1, après avoir mystifié Guessoum) et Mendes (51e, 0-2, après avoir éliminé Paquiez). L’énergie du désespoir a permis de réduire l’écart grâce à un numéro personnel d’Eliasson, seul Crocodile à avoir fait des différences (54e, 1-2). Mais pas d’égaliser sur un dernier coup de billard (88e). Nîmes Olympique est en échec. Échec et match ? On va vite savoir.
En tout cas, les absents n’ont pas eu tort. Pour finir, on suggérera d’ailleurs une faveur à Rani Assaf : rembourser les 1 174 spectateurs de la rencontre. Ils le mériteraient.
Source : Midi Libre
Les notes des Crocos face à Niort
Le Croco clé
Kelyan Guessoum (2/10) : Un match à oublier pour le défenseur central nîmois qui s'est fait martyriser par Mendes, l'avant-centre niortais. En retard sur son intervention sur Zemzemi, il doit laisser filer le meneur de jeu chamois pour l'ouverture du score (25e). Il lâche ensuite le marquage sur Mendes sur le second but (51e), avant de se faire avertir pour un tacle mal maîtrisé (66e).
Au cas par cas
Lucas Dias (4/10) : Pas irréprochable sur l'ouverture score en angle fermé de Zemzemi, Dias ne peut rien sur le second but niortais. Sans être catastrophique, le portier nîmois s'est incliné à deux reprises sur les trois tirs cadrés chamois.
Gaëtan Paquiez (3/10) : Un match en deux temps pour Paquiez. Plutôt bon en première période, à l'image de son pressing gagnant dans la surface niortaise en début de match, il a sombré après la pause. Alors qu'il avait maîtrisé Vallier jusqu'alors, Paquiez rate complètement son intervention sur ce dernier au retour des vestiaires pour le second but niortais. Par la suite, il a enchaîné les mauvaises transmissions et les approximations défensives.
Naomichi Ueda (3/10) : Un peu mieux que son compère de la charnière, Ueda a raté quelques relances comme celle plein axe juste avant la mi-temps. Il a par deux fois laissé trop d'espace à Zemzemi sur l'ouverture du score puis à la 77e, sur l'une des meilleures opportunités niortaises de la seconde période.
Théo Sainte-Luce (5/10) : Très en jambe, il a multiplié les montées offensives, distillé quelques bons centres et plutôt bien maîtrisé Boutobba. Par deux fois en position favorable (43e, 72e) il a complètement raté des tirs qui auraient pu remettre Nîmes dans la partie.
Andrés Cubas (5/10) : Discret balle au pied en première période, il s'est comporté en patron après la pause, récupérant de nombreux ballons et prenant enfin ses responsabilités à la relance. Son double changement d'aile a amené la réduction de l'écart d'Eliasson (53e).
Lamine Fomba (3/10) : Très peu vu ce samedi, Fomba n'a pas apporté grand chose dans l'entrejeu, enchaînant les passes latérales ou vers l'arrière. Remplacé par Ponceau (67e) qui a tenté d'apporter son dynamisme.
Niclas Eliasson (5/10) : Une perte de balle dans ses 30 mètres en début de match avant de se mettre dans la partie. Eliasson a été le joueur offensif le plus percutant côté nîmois, éliminant régulièrement ses vis-à-vis. Il a été récompensé par un but un peu chanceux sur un centre-tir (53e). Plus discret par la suite, il s'est souvent fait bouger à l'épaule.
Yassine Benrahou (4/10) : Un coup franc cadré mais peu dangereux, quelques bons centres comme celui pour Sainte Luce (43e), Benrahou a tenté de décrocher pour orienter le jeu nîmois mais n'a pas vraiment créé de différences. Remplacé par Ómarsson, volontaire mais sevré de bons ballons.
Zinédine Ferhat (2/10) : Repositionné à la pointe de l'attaque, Ferhat s'est montré actif mais a pêché dans la spontanéité. Il n'a créé aucune différence et a souvent ralenti le jeu par des touches de balle superflues. En position idéale, il manque inexplicablement l'ouverture du score dans le premier quart d'heure. Une action qui aurait pu tout changer.
Moussa Koné (3/10) : Quelques ballons conservés dos au but, une belle inspiration en aile de pigeon pour lancer Eliasson côté droit, et c'est tout. Le co-meilleur buteur du Nîmes Olympique a trop peu pesé sur la partie. Remplacé par Delpech (78e), proche de provoquer un contre son camp sur corner.
Entraîneur Pascal Planque (3/10) : Son 4-4-2 avec Ferhat en pointe n'a franchement pas été une réussite. Son coaching n'a pas fait la différence et il est apparu sans solution.
L’arbitre - M.Thual (5/10) : Il a sans doute un peu trop haché la partie par ses coups de sifflet à répétition. Un corner oublié pour les Nîmois et pas mal d'indulgence pour Guessoum qui aurait pu être expulsé après plusieurs fautes grossières.
L’adversaire - Niort (6/10) : Trois tirs cadrés, deux buts : le réalisme clinique d'une équipe en confiance qui n'a pourtant pas paru impériale défensivement face aux timides assauts nîmois.
Le match (4/10) : Un match haché par les fautes et les erreurs techniques qui s'est décanté sur des errements défensifs nîmois.
Les joueurs sont notés à partir de 45 minutes de jeu. Le barème est le suivant : 0/10 : joueur expulsé ; 1/10 : match catastrophique ; 2/10 : Très mauvais match ; 3/10 : mauvais match ; 4/10 : match médiocre ; 5/10 : match correct ; 6/10 : assez bon match ; 7/10 : bon match ; 8/10 : excellent match ; 9/10 : match exceptionnel ; 10/10 : match parfait.
Source : Objectif Gard