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Forum d'information et d'échanges entre les supporters du Nîmes Olympique, quelque soit son lieu de résidence, afin de partager la passion pour ce club de football.


    Les ex crocos

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    Message par Admin Mer 14 Déc - 8:30

    L’INTERVIEW Adil Hermach : « Je supporterai le Maroc, mais si la France gagne je serai autant heureux »

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    Adil Hermach regardera France - Maroc avec passion- Photo : Corentin Corger


    Alors que l’équipe de France de football joue ce soir (20h) sa demi-finale de la Coupe du Monde face au Maroc, l’entraîneur des moins de 18 ans de Nîmes Olympique va vivre une soirée très particulière. L’ancien Crocodile a porté à la fois le maillot français dans les équipes jeunes et celui de l’équipe nationale marocaine. Mais il l’assure, ce soir il sera heureux quel que soit le résultat.

    Objectif Gard : Que représente pour vous le match France – Maroc ?

    Adil Hermach : Beaucoup de choses pour moi qui suis franco-marocain. J'ai joué en équipe nationale du Maroc, mais aussi pour les Bleus en équipes jeunes. Mais c’est particulier pour tous les binationaux. On est super heureux de rencontrer l’équipe de France.

    Pour quelle raison êtes-vous heureux de jouer contre la France ?

    Parce que nous serons en finale quel que soit le résultat et nous supporterons le vainqueur. Dans les deux cas, je serai hyper content et je parle au nom de tous les franco-marocains.
    « Ce n’est pas le Maroc qui est en demi-finale, c’est toute l’Afrique »

    Comment jugez-vous le parcours de l’équipe du Maroc, la grosse surprise de cette compétition ?

    Je pense que nous sommes un pays de football. Aujourd’hui, le parcours du Maroc c’est la récompense du travail fait en amont ces dernière années, notamment par le roi du Maroc qui fait très attention au football. Et puis, nous avons des supers joueurs dans les plus grands clubs d’Europe. Ce parcours, c’est tout sauf du hasard.

    Cette demi-finale, c’est aussi la récompense pour le football africain ?

    Ce n’est pas le Maroc qui est en demi-finale, c’est toute l’Afrique.

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    Adil Hermach a été international marocain entre 2008 et 2014 • PANAPRESS/MAXPPP

    N’avez-vous pas peur que ce match débouche sur des incidents comme cela a été le cas après la rencontre Belgique – Maroc ?

    Ce soir, il va y avoir le feu en France. Mais le bon feu et tant que ça reste bon enfant ça va. J’aimerais que tout se passe bien. Je supporterai le Maroc mais si la France gagne, je serai autant heureux et je demande à tout le monde d’en faire autant. Il faut que l’on fête ça entre amis. J’aime beaucoup l’exemple d’Hakimi et Mbappé qui vont s’affronter, mais qui sont amis dans la vie.

    « Ce sera du 50/50 »

    Comment ce match est-il attendu au Maroc ?

    Vous ne pouvez pas imaginer. Ce qui se passe là-bas c’est historique et inimaginable, il faut le voir pour croire. Les supporters marocains ont une ferveur particulière et ils sont connus dans le monde entier pour cela.

    En tant que technicien, comment analysez-vous cette opposition de style entre la France et le Maroc ?

    Bien sûr que la France est incroyable. Pour la petite histoire j’ai joué avec Raphaël Varane à Lens et je ne suis pas étonné de le voir à ce niveau. La France, c’est ce qui se fait de mieux en termes de football et personne n’arrive à la cheville de Kylian Mbappé.

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    Adil Hermach a joué à Nîmes Olympique lors des saisons 2003-04 et 2015-16 • © AZRIA JEAN CLAUDE / WORLDPICT

    Le Maroc a-t-il sa chance ?

    Si le Maroc est là, ce n’est pas par hasard et sur un match de football il peut se passer beaucoup de choses. J’ai presque envie de dire, ce sera du 50/50.

    Dans quelles conditions regardez-vous les rencontres de la Coupe du Monde ?

    Pour Maroc – Espagne, j’avais entraînement avec les moins de 18 ans de Nîmes Olympique. J’ai regardé la séance des tirs au but avec mes joueurs. Quand je suis à la maison j’ai un drapeau de la France et un du Maroc.

    Où serez-vous ce soir à 20h ?

    Je serai en famille, car d’habitude j’arrive à maitriser mes émotions, mais là j’ai du mal.

    Source : Norman Jardin (OG)
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    Message par Admin Lun 19 Déc - 20:58




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    Message par Admin Ven 30 Déc - 3:33

    Jérôme Arpinon : Nîmes devra indemniser son ancien coach

    Nîmes Olympique condamné à indemniser son ancien entraîneur Jérôme Arpinon

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    Jérôme Arpinon avant Nîmes-Lyon en Ligue 1 (0-4), en décembre 2019. MIDI LIBRE - ALEXIS BETHUNE

    L’entraîneur de Nîmes Olympique avait été mis à pied à titre conservatoire puis licencié pour faute grave en février 2021, alors que le club était relégable en Ligue 1. Le conseil de prud’hommes a jugé abusive cette rupture de contrat.

    C’était un autre temps. Celui de la Ligue 1. D’une troisième saison dans l’élite qui allait se terminer en relégation pour Nîmes Olympique. Le 5 février 2021, l’entraîneur Jérôme Arpinon, qui avait succédé à Bernard Blaquart l’été précédent, était mis à pied à titre conservatoire par le club et son président Rani Assaf. Pour être ensuite licencié pour faute grave.

    Arpinon, toujours à la recherche d'un club depuis

    Ce mode de licenciement était contesté par Jérôme Arpinon, toujours à la recherche d’un club depuis, et son avocat, Olivier Martin. Ils ont saisi le conseil de prud’hommes, juridiction chargée de régler les conflits individuels entre employeurs et salariés de droit privé. Les prud’hommes de Nîmes ont tranché vendredi 16 décembre. "Le conseil a considéré que mon client n’avait commis aucune faute grave, que cette qualification était infondée et donc que la rupture de contrat était abusive", indique Me Olivier Martin.

    Une somme à six chiffres

    L’avocat spécialisé en droit du sport demandait le paiement des salaires de son client jusqu’à l’échéance de son contrat, fin juin 2022 (la troisième année étant optionnelle en cas de maintien en Ligue 1),soit 17 mois ; ainsi qu’une indemnité de préjudice liée à la “perte de chance”. "Cela englobe les primes, notamment celle de maintien, dont mon client aurait pu bénéficier si son contrat n’avait pas été rompu. S’il était resté, on ne sait pas si le club se serait maintenu ou pas", précise Me Martin, qui a eu gain de cause.

    Le conseil de prud’hommes a ainsi condamné Nîmes Olympique à indemniser Jérôme Arpinon, sentence prononcée avec exécution provisoire. C’est-à-dire que le club croco devra payer son ancien coach (pour un montant qui représente une somme à six chiffres) même s’il décide d’interjeter appel du jugement.

    Nîmes Olympique peut faire appel

    Rani Assaf a un mois pour le faire à compter de la notification de la décision aux deux parties. Soit jusqu’au 20 janvier environ. Contactée, la direction de NO n’a pas répondu à nos sollicitations quant à un éventuel appel.
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    Message par Admin Ven 30 Déc - 3:58

    Nicolas Usaï rebondit à Orléans

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    Nicolas Usaï à Orléans.

    Un peu plus d’un mois après son départ de Nîmes, Nicolas Usaï a retrouvé un nouveau club. L’entraîneur, arrivé le 5 janvier 2022, avait été licencié par Rani Assaf le 16 novembre, alors que les Crocodiles restaient sur sept points pris en quatre matchs (dont une victoire contre Bordeaux) et une place de 16e et non relégable. Son nom revenait ces derniers jours avec insistance du côté d’Orléans, l’actuel 12e de championnat National où les places 13 à 18 relèguent en National 2. C’est désormais officiel, l’ancien coach nîmois vient d’être nommé pour essayer de maintenir le club du Loiret en National. Il prend la suite de Xavier Collin licencié le 20 décembre dernier.

    Source : OG
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    Message par Admin Ven 30 Déc - 20:33

    Pelé raconté par Adolphe Scherer : « un vrai diable sur le terrain, insaisissable ».

    "Pelé était un vrai diable sur le terrain, insaisissable" : ancien joueur Nîmes, il a joué contre le "Roi" et nous raconte Adolphe Scherer

    Adolf Scherer est entré dans l'histoire du football tchécoslovaque en jouant deux fois le Brésil, dont une fois contre Pelé, lors de la coupe du monde de 1962 au Chili où sa sélection a été battue en finale. Adolf Scherer est entré dans l'histoire du football tchécoslovaque en jouant deux fois le Brésil, dont une fois contre Pelé, lors de la coupe du monde de 1962 au Chili où sa sélection a été battue en finale. MIDI LIBRE - F. P.

    Ancien international tchécoslovaque et joueur de Nîmes Olympique, Adolf Scherer, installé dans le Gard, a affronté la star brésilienne lors de la coupe du monde 1962 au Chili.
    Sur la table basse du salon de la maison à Saint-Gilles, Nadia Scherer a sorti, ce vendredi, quelques albums photos et une multitude de livres. L'un d'eux est consacré à l'histoire du football tchécoslovaque dont son mari, Adolf, connaît quasiment chaque page. Il a même contribué à écrire les plus glorieuses. La couverture est une illustration de la finale de la coupe du monde jouée en 1962 entre la Tchécoslovaquie et le Brésil.

    "Toujours l'avoir à l'œil"

    Adolf Scherer, 84 ans, né du côté slovaque, était international. Cette année-là, il a joué, à 24 ans, sa seule phase finale et a eu le privilège d'affronter Pelé. Les yeux s'illuminent lorsqu'il raconte : "On avait commencé le tournoi par une victoire face à l'Espagne, 1-0. Le Brésil était notre deuxième match. Jamais de ma vie, je n'aurais imaginé jouer contre ce pays et Pelé qui était un vrai diable sur le terrain, insaisissable. Cela a été un des faits marquants de ma carrière. On avait eu des consignes très strictes de notre entraîneur pour le surveiller. Il était la plus sérieuse menace. Il faudra toujours l'avoir à l'œil, nous avait-il dit. Pas facile à contrer, on était souvent contraint à faire faute."

    "On jouait la première période lorsqu'il est sorti"

    Quatre ans après son premier sacre alors qu'il est encore mineur, la star brésilienne voit son tournoi tourner court puisqu'il se blesse lors de ce match. "Je me souviens que l'on jouait encore la première période lorsqu'il est sorti." Le partage des points (0-0) fait le bonheur des joueurs de l'est qui, en dépit d'une défaite face à Mexique, se qualifient pour les quarts.

    "On était parti sans trop de certitudes et on n'avait guère de chances de se qualifier. On était un petit pays", dit encore Adolf Scherer, buteur en quarts contre la Hongrie, auteur d'un doublé en quatre minutes en demie face à la Yougoslavie. "Je n'avais jamais joué de ma vie le Brésil. En l'espace d'une coupe du monde, je l'ai affronté deux fois."

    La veille de la finale, les Tchécoslovaques, entraînés à la dure et sous le joug d'un régime communiste intraitable, passent la nuit dans un camp militaire où ils dorment sur des lits picots. Les Brésiliens, eux, rêvent d'un retour de leur star. Mais elle doit renoncer lors de l'ultime entraînement. "Sauf que même sans Pelé, coupe l'ancien attaquant, le Brésil était une redoutable équipe. Garrincha, Vava, Zagallo, vous vous rendez compte ?".

    Dahmane Defnoun : "Je n’ai pas pu échanger mon maillot avec Pelé"

    Le 17 juillet 1965, l’Algérie est un tout jeune pays et sa sélection découvre la scène internationale lorsqu’elle reçoit le Brésil à Oran pour un match amical. Ancien joueur d’Alès, d’Angers, reparti au pays avant de revenir en France, à Vichy ou encore Aigues-Mortes, Dahmane Defnoun, qui vit à Nîmes avec son épouse Monique, était milieu de terrain dans la sélection algérienne après avoir fait partie, quelques années plus tôt, de celle du FLN.

    Il raconte : "Le Brésil était champion du monde en titre et préparait la coupe du monde de 1966 en Angleterre. Milieu de terrain, j’avais marqué Pelé qui avait ouvert le score à la 18e minute. Même s’il y avait des joueurs comme Oudjani ou Mekloufi, on n’était pas vraiment préparé et on n’avait pas aligné l’équipe type. Devant près de 50 000 spectateurs, on avait perdu 3 à 0. Pelé nous avait fait la misère sur le terrain mais il avait été charmant après notamment lors de la réception à l’ambassade du Brésil. J’avais échangé ce jour-là mon maillot avec Bellini, le capitaine brésilien."
    La revanche était prévue le 20 juin à Alger. "Cette fois, on avait prévu d’aligner la grosse équipe pour la revanche, ajoute Dahmane Defnoun. Mais le match n’a pas eu lieu. La veille, le président Ben Bella avait été destitué. Il avait été renversé par le colonel Boumédiène. Je n’ai pas pu échanger mon maillot avec Pelé."

    Un joueur "unique"

    Si le Brésil conserve son titre, les Tchécoslovaques sont accueillis en héros à Prague. Mais comme on ne sort pas aussi facilement que ça du pays, Adolf Scherer doit attendre d'avoir dépassé la trentaine pour tenter sa chance à l'ouest, à Nîmes Olympique qu'il rejoindra en 1969 pour trois saisons, s'établissant alors définitivement en France.

    Adolf Scherer assure que Pelé était "unique" et que personne ne l'a encore remplacé. Lui et ses camarades ont aussi laissé une trace dans le cœur de leurs compatriotes. Il reçoit encore des lettres de fans. Et l'été dernier, pour le soixantième anniversaire de cette finale, il a reçu des autorités tchèques, l'équivalent de la légion d'honneur.

    Jacky Novi : "Si les smartphones avaient existé, j'en aurais caché un dans mon short pour faire des photos"

    Jacky Novi, 544 matches de D1 avec Nîmes, Marseille, Paris-Saint-Germain et Strasbourg, ancien international, a joué à deux reprises contre Pelé. S'il ne garde pas de souvenirs précis du second match, le14 septembre 1976, entre le club de la capitale et celui du Cosmos New-York où le Brésilien avait fini sa carrière, le premier tient une place à part. "C'était, raconte-t-il, en 1971 (le 31 mars). Lors d'une rencontre caritative pour l'inauguration de l'éclairage du stade de Colombes, face à Santos, son club de toujours, je faisais partie d'une équipe composée de joueurs de Saint-Etienne et Marseille. J'avais dû passer dix minutes à le regarder jouer. Si les smartphones avaient existé, j'en aurais caché un dans mon short pour faire des photos. Quel phénomène et quel homme abordable ! À la fin du match, nos cars étaient garés côte à côte. Je l'avais interpellé par la fenêtre pour qu'il me dédicace l'affiche du match, ce qu'il avait fait bien volontiers."

    Source : ML
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    Message par Admin Dim 1 Jan - 16:36

    Jean-Jacques Rochette, les souvenirs de l’ancien speaker du Nîmes Olympique devenu maire

    Jean-Jacques Rochette sur une photo le montrant (à droite) avec Zidane et Dugarry. MIDI LIBRE - F.G.

    Aujourd'hui maire de Comps, il se souvient de sa phrase fétiche lancée au début de chaque rencontre : "Nimois, Nimoise, voici votre équipe !"
    Des souvenirs des matchs aux Costières, Jean-Jacques Rochette en a la pelle !  Maire de Comps depuis 2014, Jean-Jacques Rochette a été dans une autre vie speaker officiel de Nimes olympique pendant 15 ans, entre 1990 et 2005.

    Des souvenirs qui sont revenus en force ces derniers mois, en apprenant la destruction du Stade des Costières où il a tant de fois prononcé  cette phrase fétiche : "Nîmois, Nimoises, voici votre équipe !"

    "Cette phrase annonçait les équipes au coup d'envoi" se souvient Jean-Jacques Rochette qui  avoue avoir ressenti beaucoup de tristesse à l'annonce de la destruction du stade des Costières.

    De nombreuses stars du foot ont foulé la pelouse des Costières

    "J'y ai croisé pendant ces quinze années tout ce que le football comptait de stars et personnages de légende à l'époque : Nicollin, Deschamps, Mezy, Blanc, Mezy, Girard... et autres entraîneurs et joueurs de talent"

    L'ancien speaker a surtout en mémoire de nombreuses anecdotes vues ou vécues depuis le banc de touche. "Comme ce jour où j'ai arrêté un match à deux minutes de la fin, car nous étions en danger et risquions de perdre... Je suis sorti du banc pour relancer la foule depuis la ligne de touche, ce qui m'a valu une belle réprimande de l'arbitre et un carton jaune qui a stoppé la rencontre, coupant ainsi le rythme qui ne nous était pas favorable !  Le coach de l'époque,  Boissier m'avait remercié... "

    Match à rebondissement

    Jean-Jacques Rochette se souvient également  d'un match  à rebondissement : "Dans un premier temps, l'arbitre central se blesse et on le remplace donc par un arbitre de touche. Lui-même  doit être remplacé car il est ensuite blessé. Le match repart avec un spectateur des tribunes, arbitre amateur. Puis l'arbitre de touche se blesse à son tour et je dois au micro, applet un second spectateur ! C'était réellement une situation peu courante."

    Moins drôles, les souvenirs des noms d'oiseaux entendus parfois à l'égard des arbitres, des joueurs, des délégués ou à son encontre, "alors que je n'y étais pour rien si on perdait !"

    Aujourd'hui, le maire continue à suivre Nîmes Olympique en espérant que "des jours meilleurs reviennent"...

    source : ML
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    Message par Admin Lun 6 Fév - 23:21

    Ben Amar a Lyon

    L’ancien nîmois (2017-21) Ben Amar a peut-être enfin trouvé le club qui lui fallait.
    L’attaquant, qui n’est jamais arrivé à se faire une place dans l’équipe première de Nîmes Olympique (seulement 215 minutes en huit apparitions) avait quitté le Gard en 2021. Il avait alors tenté l’aventure à l’étranger avec un passage en Irlande à Dundalk (de juin 2021 à janvier 2022) et au Luxembourg à l’US Mondorf (juin 2022 à janvier 2023) sans succès. L’avant-centre vient de réorienter sa carrière en revenant en France et il vient de s’engager avec Lyon-La Duchère, qui évolue dans la poule de l’OAC en N2. Sami Ben Amar n’a pas tardé à s’illustrer puisque pour sa première apparition dans son nouveau club, il a participé à la victoire de La Duchère 3-0 sur le terrain de la réserve de l’Olympique Lyonnais. Mieux encore, entré en jeu à la 61e minute, il a marqué son premier but à la 66e.

    Source : OG
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    Message par Admin Lun 13 Fév - 0:42

    NO : Lucas Buades :« Le soir de la montée en Ligue 1, rien que d’en parler, j’en ai des frissons. »

    Nîmes Olympique joue à Rodez ce samedi pour le compte de la 23e journée de Ligue 2. Un match très important entre deux équipes à la lutte pour le maintien. Cette rencontre sera aussi l’occasion pour les Nîmois de retrouver trois anciens Crocodiles aujourd’hui Ruthénois. Il y a Clément Depres, Antoine Valerio et Lucas Buades. Pour ce dernier, la rencontre aura une saveur particulière et c’est avec plaisir qu’il se remémore ses années aux NO.

    Objectif Gard : Vous rencontrez Nîmes Olympique demain. C’est un match particulier pour vous ?
    Lucas Buades : Ce n’est pas un match comme les autres. J’ai passé huit ans à Nîmes, du centre de formation jusqu’au pro, et il y a beaucoup de souvenirs qui reviennent.

    Dans quelles circonstances étiez-vous arrivé à Nîmes ?
    J’étais à Toulouse et Nîmes Olympique m’avait convié à passer des essais. Ils se sont avérés concluants, mais mon club de Toulouse me l’a caché. Un jour, monsieur Lacaze, du centre de formation nîmois, m’appelle et me dit :« Que fais-tu ? On t’attend ! » Je n’étais pas au courant que Nîmes me voulait. Ça a commencé comme ça.

    « Ces Crocos, ils sont presque comme ma famille »

    Comment s’est passée votre intégration au centre de formation ?
    Quand j’arrive à Nîmes, j’ai 15 ans et le plus dur était de couper le cordon avec mes parents. Ma mère était très tatillonne sur les études et elle voulait bien que son fils soit footballeur, mais elle voulait un footballeur intelligent.

    Quels souvenirs gardez-vous de ces années en équipes jeunes ?
    Je suis encore en contact avec beaucoup de personnes que j’ai côtoyées : entraîneurs, dirigeants et joueurs. J’ai passé de très belles années comme lors de la montée en National 2 avec la réserve, des moments exceptionnels. Ces Crocos, ils sont presque comme ma famille.

    Parlez-nous de vos débuts en professionnel ?
    Je me souviens de tout. Par exemple, un jour avec la réserve on gagne 2-1 à Montpellier et j’ai fait un match assez convaincant. Une semaine plus tard, Bernard (Bernard Blaquart, NDLR) m’appelle pour m’entraîner avec le groupe pro. Puis il m’a pris pour un match à Châteauroux et je suis rentré trois minutes. Ce sont des souvenirs gravés à jamais.

    « Le soir de la montée en Ligue 1, j’étais sur le banc et voir l’ambiance dans les Costières c’était exceptionnel »

    Comment s’est passée la suite ?
    L’année de la montée en Ligue 1, j’apparais une quinzaine de fois sur les feuilles de match. Cette accession dans l’élite, je l’ai vécue à ma manière et c’était très enrichissant. J’ai quelques apparitions en L1 et une titularisation. Je suis très fier d’y arriver avec mon club formateur.

    Les ex crocos  - Page 3 Aa305f10
    Lucas Buades est entouré de ses copains Lucas Dias, Kelyan Guessoum, Théo Sainte-Luce et Luca Valls • Photo : Norman Jardin

    Quel est votre meilleur souvenir au NO ?
    La victoire 3-0 contre Lens en Coupe de la Ligue. Je jouais avec mes copains Dias, Sainte-Luce et Guessoum. Il y a aussi le soir de la montée en Ligue 1, j’étais sur le banc et voir l’ambiance dans ce stade des Costières c’était exceptionnel. Après le match, avec les joueurs, on est parti à la Maison Carrée. Rien que d'en parler j’en ai des frissons. Ça restera gravé à jamais.

    Avez-vous des regrets ?
    Oui, celui de ne pas avoir pu sublimer le maillot de Nîmes Olympique.
    « Avec Plancque et Hammache, ça ne se passait pas bien »
    Vous quittez Nîmes en 2021. C’était votre choix ou celui du club ?
    Avec Pascal Plancque et Reda Hammache, ça ne se passait pas bien. Ils ont décidé de ne pas me renouveler. J’étais souvent mis à l’écart sans explication.

    Vous jouez au poste de latéral-droit, mais ce n’est pas votre poste initial ?
    J’ai été formé comme avant-centre à Nîmes. Mais au fil des années, on m’a placé sur les côtés. Sur un match amical, Yannick Dumas a voulu tester le 3-5-2 et il m’a positionné en piston-droit et ça été une révélation pour moi. C’est là où je me sens le plus à l’aise. Mais tant que je suis sur le terrain, je donne tout.

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    Lucas Buades a participé à l’aventure nîmoise en Ligue 1

    Aurez-vous un sentiment revanchard au moment d’affronter Nîmes ?
    C’est surtout une rencontre très importante pour le maintien. Si sur le plan comptable il ne rapportera que trois points, sur le plan moral il est très important. Je laisserai mes souvenirs de côté pendant 90 minutes. Je donnerai tout pour le club de Rodez car aujourd’hui c’est ce blason que j’ai sur le cœur. Il n’y aura pas de cadeau. Mais après le match, je profiterai de ce moment avec mes anciens coéquipiers et ceux avec qui je reste en contact.

    « Clément a été comme mon grand frère »

    À Rodez, vous avez retrouvé des anciens Crocos, Depres, Malanda (parti désormais aux USA) et Valerio. Ça a facilité votre intégration ?
    Clément a été comme un grand frère quand je suis arrivé dans l’équipe pro à Nîmes. Jouer avec lui, c’est un plaisir et une fierté. Même avec Antoine que j’ai côtoyé dans mes dernières années à Nîmes. Je me souviens que certains matins, il n’avait pas sa voiture et c’est moi qui allais le récupérer pour le conduire à l’entraînement.

    Comment expliquez-vous les difficultés de Rodez en championnat (19e de Ligue 2) cette saison ?
    On manque de justesse dans le dernier geste. On est très intéressant dans le contenu, mais on pèche dans les deux surfaces.

    Sur un plan personnel, votre saison a été un peu gâchée par une blessure. Que s'est-il passé ?
    Oui, elle date du dernier match contre Nîmes en avril dernier. Mes adducteurs m’ont lâché. J'ai alors connu des mois de galère où j’ai essayé de reprendre sans me faire opérer. Au final, c’était le mauvais choix et, en septembre, je me suis fait opérer d’une pubalgie. J’ai mis cinq mois à revenir et, depuis le début de l’année, je suis de retour sur le terrain.

    « Les supporters nîmois arrivaient à faire déjouer l’adversaire »

    Comment est l’ambiance dans le stade Paul-Lignon ?
    Il est en travaux, c’est une très belle structure qui est en train de se construire. Ça fait plaisir car on va pouvoir accueillir de plus en plus de supporters. On a besoin d’eux et de leur ferveur. À Nîmes, je me souviens de certains matchs où les supporters nîmois arrivaient à faire déjouer l’adversaire.

    À Rodez, avez-vous conservé votre surnom qui était « Bubu » ?
    (Rires) J’ai l’impression que cela me suit et tout le monde l’a adopté. Ça ne me dérange pas du tout.

    Source : OG
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    Message par Admin Mar 14 Mar - 7:13

    Omarsson voit triple !

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    Omarsson a débloqué son compteur avec Breda • Photo : Anthony Maurin

    Lors de son passage à Nîmes (2021-23), Elias Mar Omarsson n’a pas laissé le souvenir d’un renard des surfaces.

    Avec neuf buts en 46 matchs, l’attaquant islandais n’entrera pas dans le panthéon des buteurs nîmois. C’est le 18 janvier dernier qu’il a quitté le Gard pour rejoindre la L2 néerlandaise et le club de NAC Breda.

    Ses débuts dans la deuxième division batave n’ont pas non plus défrayé la chronique puisque le compteur de l’ancien Crocodile restait à zéro lors des cinq premières rencontres. Mais Omarsson s’est réveillé ce week-end en réussissant un triplé lors de la victoire de son équipe contre Maastricht 4-1.

    Voilà qui va faire du bien à l’Islandais qui n’était pas parvenu à s’imposer à Nîmes.

    Source : OG
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    Message par Admin Jeu 6 Avr - 8:42

    Des nouvelles de Pablo Martinez qui a rebondi en Espagne

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    Message par Admin Mar 2 Mai - 13:21

    Antoine Sauli des podiums Ricard à telefoot où l’histoire exceptionnelle d’un self made man.

    https://www.facebook.com/profile.php?id=100063250808945

    L’histoire d’Antoine Sauli pourrait être comparée à celles de Bernard Tapie ou Alain Afflelou. Des hommes sortis de milieux modestes qui arrivent à tutoyer les sommets grâce à leur travail, leur sens du commerce et des méthodes de grands communicants.

    Bien que né en Corse en 1943, c’est à Nimes qu’il arrive à l’âge de 5 ans où son père, gardien à la prison centrale, avait été muté. Le petit Antoine grandit dans le quartier de la Planète dans des conditions plutôt modestes et se laisse poursuivre par les études. Ses Grand père et père furent des exemples pour lui. Des hommes travailleurs, pleins de bons sens. Son grand père, durant la guerre, fut attrapé par les italiens qui lui coupèrent avec une hache les doigts de pieds. Il portait dès lors des chaussures orthopédiques et, malgré le handicap, il se tapait deux heures de marche pour s’occuper de son troupeau de chèvres et faire vivre la famille. « J’ai vu mes parents tirer la langue et je ne voulais pas vivre ça » déclara t il dans une interview de Norman Jardin dans Objectif Gard.
    « Antoine était un beau gosse et s’attirait tous les regards des filles lors des soirées » rapportait à sa fille anaîs, son ami de jeuneusse Jean Pierre Gazeilles. Outre le coté séducteur, il s’avère que le petit Corse a un bagout exceptionnel. Ce bagout le propulse sur les podiums de la société Ricard qui animent les stations balnéaires l’été. « Plus il y avait du monde et plus il était à l’aise ». Un ami lui demande un jour de faire un essai ; il est concluant et Antoine, alors âgé d’une vingtaine d’années, fréquente les Carlos, Sylvie Vartan, Daniel Guichard et autres artistes des tournées.
    Il faut dire qu’Antoine a déjà mis le pied à l’étrier professionnellement. Dans les années 60, il rejoint un vendeur d’outils qui exerçe sur les places de villages avec un vieux camion. C’est ainsi que notre Corse débute dans l’outillage. Grâce à son talent de vendeur, il se retrouve rapidement sur un boulevard de Paris avec un petit coffret d’outillages et fait le bonimenteur. Il vend toute la marchandise et, signe son premier contrat de travail.
    Après un apprentissage rapide, il décide de voler de ses propres ailes. Il demande une somme dérisoire à ses parents et part à Saint Etienne pour acheter de l’outillage. Il écume les villages au volant de son camion. Le succès est fulgurant. Avec son épouse Sylvette, ils créent France Vanadium (le Vanadium est un métal blanc argenté comme les outils) en janvier 1976. Antoine fait fabriquer ses outils à l’étranger et arrive à tirer des prix bien plus compétitifs que la concurrence. La vente s’effectue en grande partie par catalogue, d’où le changement de nom en 1982 pour CATA-VANA (contraction de catalogue et Vanadium).
    Le procédé commercial est simple. Catavana envoie les catalogues aux clients avec un bon à remplir et une date du passage du camion dans les villes et communes. Chaque client vient récupérer sa marchandise et paie au « cul du camion ». Antoine et Sylvette sont des battants et des employeurs humains, comme nous le précise Gerard Rosettich, abonné de RJB. « Je suis rentré chez Catavana en 1987, j’étais en intérim et tous les matins je me levais et prenais mon vélo depuis le Chemin-Bas pour aller travailler à Saint Césaire. Je m’occupais juste de charger les camions. Un jour, j’attrape une grippe et donc je pose un arrêt de maladie. Au retour dans l’entreprise, Mr Sauli m’attrape et me dit ; « Je n’aime pas trop ça, dans la vie il faut s’accrocher, accroche-toi ! ». Je lui explique, certificat médical à l’appui, que j’avais bien été malade. L’affaire se passe. Quelques temps après, un matin, il revient vers moi et me dit : « Ca ne va pas ! ». Je me suis dit « Qu’as-tu fait encore » ? Il me répète : « ça ne va pas, vous méritez mieux que ce poste de manutentionnaire. Vous allez passer dans les bureaux au service de l’expédition ». Monsieur et Madame Sauli venaient de me donner ma chance, ils m’ont fait confiance et aujourd’hui si j’en suis là où j’en suis, c’est grâce à eux. Je leur en suis reconnaissant ».
    Parallèlement aux méthodes commerciales usuelles, Antoine, par son amour du sport, veut cibler le monde du football. Il devient le sponsor de l’émission Télé-Foot qui fait le plein d’audience le dimanche matin sur TF1. C’est alors que Jean Bousquet l’appelle pour lui demander si le sponsoring maillot du Nimes Olympique pourrait l’intéresser ? Antoine n’hésite pas et dès le mois de mai 1986, Midi Libre annonce l’arrivée de France Vanadium (sic) comme sponsor maillot. Ce n’est que le 27 juin que le maillot officiel est présenté à la presse. Midi Libre titre « Nimes retrouve ses couleurs » (après l’intermède Orange avec Bic). Jean Bousquet expose le maillot floqué de Catavana. C’est le début d’un partenariat que durera 6 ans. Catavana « l’ouragan de l’outillage » est de partout dans le sport. Le foot, les matchs de coupe d’Europe, l’Equipe du Dimanche sur Canal + mais aussi le cyclisme, l’automobile, les rallyes, la formule 3, l’émission « Avis de recherche » et même les guignols de l’info. « Canal + cherchait un sponsor bidon pour la soirée électorale des présidentielles. Ils ont baptisé la marque « Catara-vanana » et une marionnette me représentait. Tout le monde en parlait, c’était tout bénéfice » déclarait-il à Objectif Gard.
    Un bienfaiteur comme lui, ne court pas les rues et Nimes Olympique peut compter sur lui. Il sait qu’il investit à fonds perdu, mais peu importe, le passionné du club qu’il est, s’inscrit dans le droite lignée des Chiariny, Calabro, Bousquet qui eux aussi avaient cassé leur tirelire pour le club, à la différence qu’ Antoine n’a jamais été président.
    Jean Pierre Vaillant qui était à l’époque le secrétaire du Nimes Olympique peut en témoigner. « Antoine était un homme sur lequel on pouvait compter, un homme généreux, qui n’hésitait pas à sponsoriser, aider, renflouer le club et se montrer présent avec les dirigeants, joueurs, supporters et même les anciens du NO. Il était toujours prêt pour les joueurs à faire preuve de générosité mais aussi créer un esprit familial autour de l’équipe pour instaurer une certaine émulation et arriver à remonter en D1. Je me souviens l’avoir vu offrir des tondeuses et autres caisses d’outils à de nombreux joueurs ».
    Alain Espeisse très touché par le décès de son ami Antoine souligne le côté humain de l’homme : « Lorsque je jouais, je n’ai jamais eu de rapport avec lui ; juste « bonjour, bonsoir ». Plus tard alors qu’il connaissait des problèmes avec le justice, je le rencontre sur le marché de Lunel. Il vendait des vêtements sur un stand lors du marché hebdomadaire. Il rencontrait un petit problème d’emplacement et j’ai pu le résoudre. Quelques temps après, alors qu’il venait de monter ses gites en Corse, je reçois un coup de fil : « Bonjour c’est Antoine je t’invite ton épouse et toi en Corse quand tu veux ». Et là commence une histoire humaine incroyable avec lui. Des échanges, des repas, la découverte de la Corse… Un homme humain comme il y en a peu, comme on en croise un ou deux dans sa vie. Antoine Sauli c’était ça »
    Pour Michel Mézy, Antoine était un éternel « jeune homme », amoureux de la vie et passionné du Nimes Olympique. « Je me souviens que lors de la montée de 1991, il était comme un enfant, heureux et fier de participer à ce moment. Un jour il me dit : « Je viendrai te chercher dans le port du Grau du Roi avec mon bateau ». Je connaissais la longueur de son bateau et le port du Grau ce n’est pas celui de Saint Tropez ou Monaco. Il est arrivé sous le regard médusé des passant et m’a embarqué à bord. Nous avons bien ri.
    Le Nimes Olympique vient de perdre un grand bienfaiteur et Nimes un homme incontournable. Il déclarait : « J’ai eu milles vies et je ne regrette rien. Je me suis bien éclaté ! ». Tous ceux qui ont eu la chance de le côtoyer peuvent être fiers d’avoir partager quelques moments avec lui et appris à son contact, comme l’on peut apprendre des grands hommes.
    Merci Monsieur Sauli, merci Antoine.
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    Remerciements à Norman Jardin Objectif Gard
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    Message par Admin Jeu 11 Mai - 9:29

    "Le Nîmes olympique va dans la tombe" selon l’ancien joueur des Crocos Alain Espeisse

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    France Bleu Gard Lozère

    Initiateur du nouveau collectif de supporters Sauvons le Nîmes olympique, l’ancien joueur des Crocos Alain Espeisse était sur France Bleu Gard Lozère, ce mercredi matin. Il a, une nouvelle fois, critiqué la politique du président du club, Rani Assaf, accusé de n’avoir aucune vision sportive.

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    En Ligue 2, le Nîmes olympique pointe à la 19e et avant-dernière place, synonyme de relégation en Nationale 1, la saison prochaine. - © Mikaël Anisset

    Une avant-dernière place en Ligue 2 et un jeu à l’image du public du stade des Antonins : quasi inexistant. À quatre journées de la fin du championnat, le bilan est catastrophique pour les Crocos, menacés de descendre en troisième division, la saison prochaine. La situation inquiète de nombreux supporters. Parmi eux : des anciens joueurs, comme Alain Espeisse, professionnel de 1983 à 1993.

    C’est notamment lui qui est à l’origine du nouveau « Sauvons le Nîmes olympique », un collectif qui a lancé une pétition pour protester notamment contre la politique de Rani Assaf, le président du club, accusé de n’avoir aucune vision sportive. « Il est au plus bas. Je pense qu’il aurait pu encadrer son club différemment », estime celui qui fut milieu de terrain des Crocos.

    Les ex crocos  - Page 3 Image
    Alain Espeisse (Photo : Anthony Maurin)

    Rassemblement en vue

    S’il n’arrive pas à se maintenir en Ligue 2 cette saison, Alain Espeisse prédit sur France Bleu Gard Lozère un sombre avenir au Nîmes olympique. "Parti comme c’est parti, le club risque de végéter pendant des années en nationale", dit-il. Pour tenter de sauver les Crocos du maintien, le collectif appelle le peuple nîmois au sursaut et à se mobiliser, ce samedi, devant la mairie de Nîmes, où doit avoir lieu un Conseil municipal.

    Objectif du rassemblement : faire pression sur les élus pour les inciter à stopper les discussions menées par la Ville dans le cadre du projet immobilier de Rani Assaf autour du stade des Costières. Le rendez-vous est donné à 8h.

    Source : FBGL
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    Message par Admin Mar 23 Mai - 6:51

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    Message par Admin Mar 23 Mai - 9:56

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    Message par Admin Jeu 25 Mai - 3:46

    Nicolas Usaï : « j’ai été pris à contre pied » : son limogeage du NO, Rani Assaf, les supporters … les confidences de Nicolas Usaï  »


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    Nicolas Usaï sera resté un peu moins de 11 mois à la tête des Crocos. MIDI LIBRE - MIKAEL ANISSET

    ERIC DELANZY (ML)

    EXCLUSIF - L'ancien entraîneur de Nîmes Olympique Nicolas Usaï, limogé en novembre alors que les Crocos n'étaient pas relégables, s'est confié en exclusivité à Midi Libre. Rani Assaf, ses conseillers, les supporters, son éviction, l'actuel coach d'Orléans, qui s'est maintenu en National, dit tout, ou presque.

    On l'avait sollicité au moment de son éviction, cet automne. Limogé le 16 novembre, après dix mois et demi à la tête des Crocodiles, Nicolas Usaï avait accepté de nous accorder un entretien, mais s'était finalement ravisé.

    "Je ne voulais pas parler sous le coup de la colère, de la déception et par rapport à mon ego, ni mettre personne en porte-à-faux alors que le club menait son opération maintien. Aujourd'hui, c'est l'heure des bilans, Nîmes est relégué, je peux m'exprimer librement. Et parler me permet de fermer la parenthèse nîmoise définitivement", explique l'entraîneur de 49 ans, qui a rebondi fin décembre à Orléans (National). Un homme entier qui laissera un bon souvenir dans le Gard. Et qui s'est confié à cœur ouvert.

    L'été dernier, si on vous avait dit que vous vous maintiendrez en fin de saison, vous auriez signé, mais pas forcément avec Orléans...

    C'est exactement ça... Le paradoxe, c'est que l'an dernier, quasiment à la même époque, on ne voulait surtout pas aller en National et qu'aujourd'hui, je suis satisfait d'y rester ! Le hasard a voulu que samedi dernier, le même jour, on soit officiellement maintenu avec Orléans, et Nîmes officiellement relégué en National. Ça me fait mal de voir NO descendre, pour mon ancien staff d'abord, un staff de grande valeur, le meilleur que je puisse imaginer pour moi. Pour les joueurs, ensuite, qui étaient tous dans l'esprit. Et pour nos supporters... Quand je repense à la communion pour le dernier match aux Costières contre Bordeaux (victoire 1-0)... On aurait été capable de faire de grandes choses avec ce public. C'est terriblement frustrant.

    Votre éviction, il y a six mois, a surpris beaucoup de monde : joueurs, staff, journalistes... Avez-vous été vous-même surpris ?

    (Il réfléchit) Oui, même si j'ai compris certaines choses après. L'aventure se passait plutôt bien, même si on ne jouait pas la montée, c'est certain (16e avec 15 points en 15 journées). Le mercredi précédant mon éviction, Rani Assaf m'a invité au restaurant, chez Jérôme Nutile, puis m'a fait visiter le stade des Antonins et ses moindres recoins. J'y ai passé deux heures avec un casque de chantier. Avec le recul, s'il pensait se séparer de moi, il aurait pu éviter. Et si Guessoum avait marqué à Niort (le samedi avant le limogeage, Nîmes fait match nul 1-1 dans les Deux-Sèvres, et le défenseur frappe sur la barre à la dernière minute, NDLR) ? J'ai le sentiment que j'aurais été remercié quand même... Dans ce métier, on sait que l'on peut être remplacé à tout moment. Si je l'avais été après Quevilly (défaite 3-1) ou Pau (1-0), j'aurais compris, mais là...

    Que s'est-il passé, selon vous, alors que Rani Assaf vous avait choisi personnellement et vous estimait ?

    C'est ce qu'il a toujours dit, oui. Je n'ai pourtant pas senti de soutien indéfectible... Et je crois qu'il n'a pas eu de bons conseils. La genèse de mon départ, je la connais. Quand j'apprends que le premier qui a eu Frédéric Bompard (son successeur, NDLR) au téléphone, c'est Jean-Jacques Bourdin...

    "Quand vous êtes conseillé par un journaliste et un vendeur de fibre optique..."

    Quand vous êtes conseillé par un journaliste (M. Bourdin, donc) et un vendeur de fibre optique (Rafik Menni, directeur général délégué de Nîmes Olympique et proche de Rani Assaf, NDLR)... Je m'incline et je constate. Le seul avec qui l'on pouvait parler football, quand Rani Assaf était absent, c'est Bernard Pascual, le responsable du recrutement. Je regrette qu'un Sébastien Larcier ne soit pas arrivé avant pour chapeauter le sportif. Il aurait pu faire tampon avec la direction.

    En nous accordant cet entretien exclusif, Nicolas Usaï "referme la parenthèse" nîmoise. En nous accordant cet entretien exclusif, Nicolas Usaï "referme la parenthèse" nîmoise. MIDI LIBRE - ALEXIS BETHUNE
    Comme s'est passée votre éviction ?

    Par un entretien très court de cinq minutes. On avait rendez-vous le 16 novembre à 13 h 30 au siège du club pour une réunion sur le mercato hivernal. Rani Assaf m'a dit de venir un peu avant. J'ai encore le souvenir de mon cahier, où j'avais écrit qu'il fallait se séparer de Ueda, Omarsson et Benrahou. On aurait même dû le faire dès l'été dernier. J'aurais dû être plus ferme. Moi aussi, j'ai fait des erreurs... comme tout le monde. Avec Yassine (Benrahou), on avait de bonnes relations mais il voulait absolument partir avant le début de la saison. Son agent me le répétait régulièrement. J'avais noté un seul nom comme renfort souhaité : Julien Lopez (Paris FC). Et aussi anticiper un éventuel départ de Lamine (Fomba). D'ailleurs, son remplacement par Joseph Lopy était totalement cohérent. Sinon, pour moi, on avait ce qu'il fallait pour se maintenir.

    Vous n'avez donc finalement jamais participé à cette réunion...

    Non. On s'est vu avec Rani Assaf. Il m'a parlé de confusion tactique, entre le passage du 3-5-2 au 4-4-2 losange. Alors qu'entre les deux systèmes, en fait, c'est quasiment la même chose : il y a juste le troisième défenseur central du 3-5-2 qui avance de 10 mètres pour devenir sentinelle.

    "On est passé de la confusion tactique à la confusion totale"

    Finalement, en six mois, on est passé de confusion tactique à confusion totale... Je n'ai pas voulu entrer en conflit avec le club. J'ai laissé deux ans de contrat : on m'a payé mes sept derniers mois de la saison en cours mais en cas de maintien, j'étais prolongé jusqu'en 2025. Je l'ai dit à mes agents : je me fais virer, OK, mais je n'avais pas envie d'aller aux prud'hommes. Quant au recrutement de l'hiver, six joueurs sont arrivés, un entraîneur adjoint, un analyste vidéo, alors que l'été d'avant, alors que l’été d’avant, on n’avait pas eu les mêmes moyens. Les recrues avaient des salaires divisés par deux par rapport à la saison précédente. En janvier, il y a eu un peu d'affolement...

    Vous resterez comme un des entraîneurs limogés de l'Histoire du football avec le meilleur bilan sur son dernier mois : 3 victoires, 1 nul et 1 défaite...

    Avec la victoire contre Bordeaux pour le dernier match aux Costières, cela restera comme un de mes derniers motifs de satisfaction de mon passage à Nîmes. Je m'en souviendrai au moment de mes vieux jours (sourire) ! En fait, j'ai été pris à contre-pied... mais le contre-pied fait partie du football (sourire à nouveau) !

    Pendant les onze mois de votre mandat nîmois, quelles étaient vos relations avec Rani Assaf ?

    Très bonnes ! On a souvent déjeuné ensemble au camping de la Bastide. Les gens de l'extérieur le trouvent "particulier", mais c'est quelqu'un de sensible aussi, même s'il ne donne pas cette impression. J'ai beaucoup de respect pour son engagement financier et pour son ambition. Être ambitieux, en France, c'est souvent une insulte, mais pas pour moi. Il paye jusqu'aux U17 Nationaux au sein de la section pro ! On dit qu'il s'en fout de la formation mais il la finance.

    "Financer, c'est vital. Fédérer, c'est capital !"

    Après, un club est une entreprise, mais avec une relation humaine à entretenir. Financer, c'est vital. Mais fédérer, c'est capital ! À mon arrivée, ça a été très difficile pour moi de me positionner, vraiment, par rapport au conflit ouvert avec les supporters. Le public, c'est la richesse d'un club, ses forces vives, on ne peut pas s'en passer. On ne peut pas diviser à ce point.

    Vous avez su ensuite rebondir à Orléans, mais on sent que la petite année passée à Nîmes vous aura marqué...

    J'ai l'impression d'avoir vécu deux saisons en une. Je remercie Orléans, un club structuré où les conditions de travail sont bonnes. Quelque part, rebondir rapidement m'a permis de faire le deuil de Nîmes. J'ai pris un coup de 220 volts, ça a été super douloureux. Je suis parti comme un voleur : j'ai été remercié le 16, je suis reparti le 17 à Marseille (d'où il est originaire, NDLR). Mon seul regret, je l'ai dit au président lors de notre entretien de cinq minutes, c'est que je suis persuadé que l'on se serait maintenu si l'on avait continué ensemble. Mais on reverra bientôt Nîmes plus haut, j'en suis sûr. Quant à moi, dimanche, j'irai boire un coup à la feria. Comme ça, la parenthèse sera complètement fermée !

    La petite histoire : "Je n'ai rien contre Frédéric Bompard, mais en 2002..."

    "Je n'ai évidemment rien contre l'entraîneur Frédéric Bompard, qui m'a remplacé. Avant, j'avais remplacé Pascal (Plancque), qui avait lui-même remplacé Jérôme (Arpinon). Cela fait partie du métier de coach. Mais je lui en veux par rapport à un ancien épisode, se souvient Nicolas Usaï. En juin 2002, je jouais à Alès et je suis contacté par Dijon, où il y avait Rudi Garcia et Frédéric Bompard. Ils me veulent. Je vais sur place et, finalement, cela ne se fait pas. On me dit que le président a privilégié un autre profil. En fait, j'ai appris l'an dernier, par un ami à qui Bompard s'est confié, que Garcia et lui ne m'avaient pas pris parce qu'ils m'avaient trouvé trop petit quand ils m'avaient vu à Dijon (Nicolas Usaï mesure 1,69 m, NDLR). Et qu'ils en rigolent maintenant quand ils le racontent. Moi, ça ne me fait pas rire. Je le lui dirai quand j'aurai l'occasion..."

    Source : ML
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    Message par Admin Jeu 8 Juin - 17:02

    Agressé par un supporter, l’ex footballeur croco se Rodez, Lucas Buades cible d’un déferlement de haine.

    MIDI LIBRE AVEC AFP

    Le joueur de Rodez Lucas Buades, ex croco, agressé vendredi soir par un supporter lors du match de l'ultime journée de Ligue 2, Bordeaux-Rodez, arrêté dans la foulée, est depuis "la cible d'un déferlement de haine, de messages de mort et de menaces", a expliqué mercredi son avocate à l'AFP.

    "Certains veulent faire porter sur lui, la responsabilité de l'arrêt du match, et il y a depuis plusieurs jours, un déferlement de haine, de messages de morts et de menaces le concernant, lui et son entourage", a déploré Me Karine Shebabo, qui décrit son client comme "terrorisé" par cette situation "très anxiogène".

    "Je pense que les clubs ont une part de responsabilité, mais on attend toujours de la part de Bordeaux, un coup de fil pour savoir comment va Lucas, comment il se porte, et peut-être nous présenter des excuses car c'était tout de même le club recevant !", a fait remarquer l'avocate.

    Commotion cérébrale

    Vendredi dernier, juste après avoir ouvert le score pour Rodez, Buades a été agressé par un supporter de Bordeaux, descendu des tribunes. Appliquant le protocole, l'arbitre a renvoyé les deux équipes aux vestiaires à la 23e minute, avant d'acter plus tard, l'arrêt définitif de ce match décisif pour la montée en Ligue 1 côté girondin et pour le maintien en L2, côté ruthénois.

    Depuis, Rodez n'avait pas communiqué sur l'état de santé de son joueur qui a été hospitalisé, souffrant d'une commotion cérébrale. "Les nouvelles ne sont pas bonnes. Il est évidemment en arrêt total et ne peut pas reprendre l'activité sportive pour l'instant", a expliqué Me Shebabo, en raison de cet incident qui a été "très violent pour lui".

    Touché au larynx

    "Il a été touché au larynx, son souffle a été coupé, il est tombé. On ne sait pas vraiment s'il a perdu connaissance mais, ce qui est sûr, c'est qu'il a eu une amnésie post traumatique durant quelques minutes et qu'il était un peu sonné", a encore détaillé l'avocate. Selon Me Karine Shebabo, Buades doit à nouveau être examiné par un neurochirurgien d'ici deux à trois jours pour faire un point.

    La commission de discipline de la Ligue de football professionnel, qui s'est réunie lundi, doit statuer le 12 juin sur la décision de rejouer ou non le match, ou encore d'appliquer une pénalité de points à Bordeaux.

    Source : ML
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    Message par Admin Jeu 8 Juin - 19:29

    Le nîmois Lucas Buades serait « terrorisé par une situation anxiogène ».

    Les ex crocos  - Page 3 301983
    L’ex croco Lucas Buades au cœur de la polémique

    Au cœur d'un déferlement médiatique et sur les réseaux sociaux suite à son agression lors du match de Ligue 2 entre Bordeaux et Rodez par un supporter, le Nîmois Lucas Buades s'est muré dans le silence laissant son avocate prendre la parole pour donner des nouvelles.

    "Certains veulent faire porter sur lui, la responsabilité de l'arrêt du match, et il y a depuis plusieurs jours, un déferlement de haine, de messages de morts et de menaces le concernant, lui et son entourage", regrette Me Karine Shebabo dans une interview à l'AFP. Il est terrorisé par cette situation très anxiogène."  

    La représentante du milieu ruthénois souligne l'absence de message du club de Bordeaux et indique que son client doit rencontrer un neurochirurgien pour faire un point sur son état de santé.


    Dernière édition par Admin le Mar 11 Juil - 10:14, édité 1 fois
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    Message par Admin Mar 27 Juin - 8:36

    Lamine Fomba vers la Premier League

    Arrivé l’hiver dernier en provenance de Nîmes, Lamine Fomba aura pris le temps de monter en puissance lors de cette deuxième partie de saison. Auteur de 16 matchs pour une passe décisive, le milieu de terrain stéphanois s’est notamment illustrée par de bonnes prestations en fin de saison.

    De quoi attirer la convoitise de certains clubs anglais ? Peut-être bien. D’après le journaliste Mohamed Toubache-Ter, un club de Premier League lorgnerait sur le milieu de terrain stéphanois sous contrat jusqu’en 2025. L’été s’annonce bien animé du côté du Forez.
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    Message par Admin Ven 7 Juil - 15:53

    Arpinon entraîneur de l’UNFP pour 6 semaines.

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    Jérôme Arpinon à droite

    En quête d'un nouveau poste depuis sa mise à pied en février 2021 du banc de Nîmes Olympique, Jérôme Arpinon est nommé entraîneur de l'équipe UNFP pour six semaines. Le Nîmois de 45 ans est à la tête d'un groupe de joueurs professionnels actuellement sans club.

    Source : la Gazette de Nîmes


    Dernière édition par Admin le Mar 11 Juil - 10:02, édité 2 fois
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    Message par Admin Sam 8 Juil - 2:31

    Interview de Nicolas Benezet dans Objectif Gard qui tire sur l’ambulance : « Assaf a coulé mon club ».

    Les ex crocos  - Page 3 Image
    Nicolas Benezet

    Un mois après la fin de la saison 2022-23 qui a vu Nîmes Olympique être relégué en National, le milieu de terrain, qui a quitté le club au mois de juin, sort du silence. Il revient sur les causes qui ont, selon lui, conduit les Crocodiles à l’échec. Nicolas Benezet évoque également la politique sportive de Rani Assaf envers lequel il est très critique. Extraits de l’entretien d’Objectif Gard avec un homme déçu et en colère.

    Les principales déclarations de Nicolas Benezet qui tire sur l’ambulance (avis de la rédaction de NOCSF).  

    « Le projet sportif est le dernier souci de Rani Assaf.
    Pourquoi un mec comme lui qui ne comprend rien au foot est président ?
    Rani Assaf ne comprend rien au foot.
    Pourquoi Gas et Bourdin sont venus ?
    Assaf avait dit qu'aucun Président a fait mieux que lui, aucun Président n'a fait pire que lui.
    On a la pire communication du foot.
    Tant que Rani Assaf sera Président on va couler...
    A la mairie de jouer si elle aime le Nîmes Olympique.
    Si le président quitte le club, ce que je souhaite, je suis prêt à porter mon aide au nouveau repreneur."


    Source : OG
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    Message par Admin Mar 11 Juil - 10:08

    Le tacle de Nicolas Benezet au président du Nîmes Olympique

    Nîmes Olympique

    Les ex crocos  - Page 3 Le-tacle-de-nicolas-benezet-au-president-du-nimes-olympique
    Nicolas Benezet

    Ohé, ohé, capitaine abandonné.

    Quelques semaines après la relégation du Nîmes Olympique en National 1, Nicolas Benezet est sorti du silence au micro d’Objectif Gard pour envoyer quelques piques à son ancien président contesté Rani Assaf :
    « En tant que capitaine, je me devais de parler au président pour faire en sorte que cette mission impossible soit un peu plus possible. Malheureusement, à aucun moment je n’ai été entendu parce que le projet sportif est le dernier de ses soucis. Il n’avait que son projet immobilier en tête. »

    Celui qui pourrait remporter le Prix Puskas à la fin de l’année et dont le contrat au Nîmes Olympique s’est terminé en juin dernier n’est pas très optimiste pour l’avenir de son club formateur :
    « Je ne peux que défendre les supporters parce que de A à Z, le président a tout fait pour que le club coule. Il ne pouvait pas mieux le faire. Je n’arrive toujours pas à comprendre comment un mec comme lui qui n’y comprend absolument rien au football soit président d’un club professionnel. Tant que Rani Assaf sera président, on va couler. Je pense qu’il a assez tué mon club, mais s’il continue, je pense que l’année prochaine, on sera en National 2. »

    Source : SO FOOT
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    Message par Admin Sam 15 Juil - 21:34

    Axel Maraval (ex NO) : « Le départ d’Usaï a fait beaucoup de mal. »


    Les ex crocos  - Page 3 24c55210
    Axel Maraval avait rejoint Nîmes pour travailler avec Nicolas Usaï
    - Photo Nîmes Olympique

    À 29 ans, Axel Maraval a fait le choix de quitter le Nîmes Olympique cet été alors qu’il était encore sous contrat jusqu’en 2025. Le gardien de 29 ans a résilié pour signer au FC Rouen que les Crocos retrouveront cette saison en National. Le Marseillais revient sur son départ et les raisons de la relégation.

    Objectif Gard : Pourquoi avoir voulu quitter Nîmes Olympique alors qu’il vous restait deux ans de contrat ?
    Axel Maraval : Il y a plusieurs raisons. D’abord le manque de visibilité pour la suite. On ne savait pas trop où on allait mettre les pieds avec la saison qui venait de se passer et l’environnement autour du club. Quand j’ai fait l’entretien avec le coach et Sébastien Larcier, ils ne pouvaient pas présenter un vrai projet. Sans compter une baisse de salaire importante pour les joueurs sous contrat et le fait que je n’avais pas forcément d’atomes crochus avec l’entraîneur en place. Il n’y avait pas grand-chose qui me retenait donc j’ai demandé au club que l’on trouve un accord pour me libérer. Il n’y a pas eu de souci. Du moment où je trouvais quelque chose, je pouvais résilier à Nîmes et m’engager libre.

    Au départ, votre souhait était de rester en Ligue 2 où vous avez atteint la barre des 100 matchs. N'est-ce pas ?
    Oui bien sûr. J’ai eu quelques échanges avec des clubs de Ligue 2, mais c’étaient plus des prises de température qu’autre chose. Si un club te veut vraiment, il te prend. Sentir que l’on te veut vraiment pour être épanoui c’est important. Rouen est arrivé assez tôt avec un fort intérêt. La priorité ce n’était pas forcément de jouer en National à première vue mais ils ont su se montrer convaincant. Le projet avec l’envie de retrouver le monde professionnel et les discussions avec le coach ont fait pencher la balance. J’ai senti un réel intérêt.

    « L’effectif n’était pas bien construit »

    Qu’est-ce qui n’a pas fonctionné avec le NO la saison dernière ?
    Je le résume à du gâchis. Quand je suis arrivé, je savais ce qu’il se passait mais je voulais travailler à nouveau avec Nicolas Usaï car je partage ses valeurs. Et c’est vrai que son départ a fait beaucoup de mal. Même si tout n’était pas parfait. Après l’arrivée d’une quinzaine de nouveaux joueurs ça a mis du temps et la mayonnaise était en train de prendre. Le président a pris tout le monde à contre-pied en limogeant l’entraîneur. Ça a fait du mal à tout le monde. Personne n’a compris. Sans compter tous les problèmes à côté qui n’ont pas aidé. Même si on est les premiers fautifs. Un joueur de foot ce n’est pas un pion. Les joueurs ont besoin d’un environnement positif. Tout cela n’était pas réuni, on a vu des joueurs dont moi faire une bonne première partie de saison et la deuxième en dent de scie. Des joueurs ont commis des erreurs individuelles, ce n’est pas anodin. Les conditions n’étaient pas réunies pour optimiser nos performances.

    On a senti que le vestiaire n’a pas digéré ce départ…
    Le club s’est trompé. Le problème ne venait pas de Nicolas Usaï c’est quelqu’un qui fédérait et qui arrivait à colmater tout ce qu’il y avait autour pour que l’on se sente bien. Le président a estimé que le problème des résultats venait de l’entraîneur mais au moment où il le limoge on n’est pas relégable. Le problème c’est que l’effectif n’était pas bien construit. On avait des manques à certains postes.

    « Du gâchis »

    Est-ce que ça a été la saison la plus compliquée de votre carrière ?
    Franchement, c’est ma plus grosse déception. À Dunkerque, je n’ai quasiment pas joué. Là je me mets dedans, en venant à Nîmes je savais où je mettais les pieds. Au départ, les conditions étaient réunies pour être performant mais le changement de coach a rebattu toutes les cartes, ça ne s’est pas passé comme je le souhaitais. Je vois ça comme du gâchis. Je n’aime pas changer de club tous les ans, ce n’est pas mon truc. Je venais de faire quatre ans avec Dunkerque, ce n’était pas pour quitter le club au bout d’un an après une descente. Malheureusement, dans le foot on ne maîtrise pas tout. Même si ça n’a pas été parfait et que ce n’était pas ma meilleure saison, je pense avoir fait partie des quelques joueurs qui ont toujours tout donné malgré le contexte.

    Nicolas Benezet a donné une interview à Objectif Gard disant que : « Rani Assaf a coulé Nîmes Olympique », partagez-vous le même avis ?
    J’ai écouté l’interview. Déjà, il faut rappeler que l’on est les premiers à être sur le terrain, ce n’est pas que de la faute des autres. Après ce qu’il dit sur le président, il a tout dit mais je n’ai pas de commentaire à faire sur le président. J’ai aucune relation particulière avec lui, cela ne l’intéresse pas d’avoir des relations avec des joueurs. On l’a très peu vu. C’est un personnage surprenant.

    « Il y avait presque que des nouveaux, on ne connaissait pas le club »

    Concernant l’absence des supporters, avez-vous eu envie aussi de monter au créneau ?
    Quand ce moment est arrivé, cela faisait trois, quatre mois que j’étais dans l’équipe. Il vient de là aussi le problème de cette année. Sur les joueurs cadres, il y avait presque que des nouveaux, on ne connaissait pas le club. Ce n’est pas le Nîmes Olympique où il y avait les Ripart, Briançon, les mecs comme ça. Il y avait une réelle identité. Là, il y avait aucun joueur à part Nico Benezet, mais il a été blessé toute la première partie de saison, Ben Poulain et Guessoum. Il y avait tout à reconstruire. Sur le terrain, il y avait déjà beaucoup à gérer. Connaissant le président, certains joueurs ont dit : « il vous renverra dans les cordes ». Et ce qu’il s’est passé.

    Quelles sont les personnes croisées à Nîmes avec qui vous allez garder contact ?
    Pas mal de personnes ! S’il y a bien un truc à retenir c’est que le groupe était sain mais peut-être pas assez soudé pour nous permettre de passer au-dessus de tout ça. Je retiens la rencontre de Benoît Poulain, un mec au top. Les kinés, Richard Goyet, Guessoum… Ce qui me fait encore plus dire que c’est du gâchis. Anthony Babikian (l’entraîneur des gardiens) était content pour moi et forcément un petit déçu de me voir partir car on s’entendait bien. Dans l’idéal j’aurais aimé continuer à travailler avec lui mais dans un autre contexte.

    Source : propos recueillis par Corentin Corger (OG)
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    Message par Admin Dim 23 Juil - 18:27

    Des nouvelles des ex crocos

    - Le Français Thierry Froger est arrivé dans le pays pour prendre ses fonctions de nouvel entraîneur-chef des champions de la Premier League rwandaise, l'APR FC.

    - Toifilou Maoulida a définitivement pris ses quartiers au centre de formation de Metz. Titulaire du certificat d’entraîneur attaquant et défenseur (CEAD, délivré par la FFF) depuis l’an dernier, le Mahorais est le nouveau responsable des attaquants au sein de la formation messine. Son arrivée, déjà officialisée depuis quelque temps, est désormais définitive et effective.

    - Rachid Alioui renforce l'attaque du Swift Hesperange - Lions de l'Atlas -

    - Djamel Menad a été nommé, ce mardi, au poste de Directeur Sportif de la JS Kabylie, a annoncé la direction du club.

    - Johan Cavalli, directeur sportif de l'ACA voit Medhi Mostefa le rejoindre en tant que recruteur.

    - Joseph Lopy, recrue d'Angers-SCO

    - Coupe d’Autriche : Le LASK facile vainqueur du Röthis avec un doublé de Moussa Koné

    - Nouveau challenge pour Larry Azouni qui rejoint AlFaisaly Saudi club

    - Un accord de principe a été trouvé entre Mehdi Zerkane et son entourage ainsi que le MC Alger

    - Jean N’Guessan s’engage avec le FC Metz !

    - Mathieu Michel a donc rejoint l'A. C. A.

    Source : Norman Jardin et planète foot NO
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    Message par Admin Lun 24 Juil - 9:27

    Le difficile combat de l'ancien Crocodile Jack McDonagh

    Les ex crocos  - Page 3 Image
    Jack Mac Donagh (au second rang, le troisième en partant de la gauche) sous le maillot de Nîmes Olympique lors de la saison 1986-87 (archives privées NJ)

    Victime d’un accident vasculaire cérébral, l’ancien défenseur du Nîmes Olympique lutte contre la maladie. Dans son combat, il n’est pas seul car le football irlandais se mobilise pour le soutenir. Fidèle à lui-même, Jack McDonagh se défend avec pugnacité. Il retrouve des forces avec l’aide de ses proches et en regardant des photos de l’époque où il portait le maillot nîmois.

    « Il aurait aimé être dans le Gard à boire un café en terrasse, tout en lisant l’Équipe et France Football ». C’est en profitant de petits plaisirs que Jack Mac Donagh aurait aimé vivre après une carrière de footballeur bien remplie. Mais aujourd’hui, affaibli par des problèmes de santé, le défenseur central vit des moments très difficiles. Même s’il est Irlandais, l’ancien Crocodile reste très attaché au Gard. L’histoire entre Jack (son vrai prénom est en réalité James) avec notre département débute en 1985, lorsque le NO le recrute pour remonter en première division.

    Les ex crocos  - Page 3 Image
    Jack Mac Donagh (au second rang, le premier en partant de la gauche) avec l’équipe d’Irlande • Archives privées Jean-Baptiste Mac Donagh


    « Il n’avait peur de personne »

    McDonagh devient alors le premier, et jusqu’à aujourd’hui le seul Irlandais à porter le maillot du Nîmes Olympique. « Je me souviens quand il est arrivé. Il avait un jeu très Irlandais, il n’avait peur de personne. Même après avoir signé à Nîmes, il continuait à se battre comme s’il devait nous convaincre de l’engager », explique Patrick Champ, le président de l’amicale des anciens du Nîmes Olympique, et qui était alors entraîneur-adjoint de Marcel Domingo. En arrivant dans le Gard, Jack se ferme les portes de la sélection irlandaise puisque seuls les joueurs évoluant sur l’île d’émeraude, ou en Angleterre, ont le droit de jouer pour l'équipe nationale.

    Les ex crocos  - Page 3 Image
    Jack Mac Donagh (au second rang, deuxième en partant de la gauche) avec les Crocodiles version 1985-86 • Archives privée NJ

    Nîmes, mais aussi Bagnols-sur-Cèze et Laudun-l'Ardoise

    Pendant deux saisons de D2, il porte fièrement le maillot nîmois. L’aventure avec le NO se termine pourtant en 1987, mais Jack n’en a pas fini avec le Gard. Après des passages en Irlande, en Angleterre et en Belgique, il revient dans notre département qu’il apprécie particulièrement. Il joue à Bagnols-sur-Cèze et Uzès, puis il entraîne le club de Laudun-l’Ardoise. Il décide alors de s’installer définitivement dans le Gard. Quant à Maryse, son épouse, et ses deux fils Edward et Jean-Baptiste, ils sont tous nés à Nîmes.

    Les ex crocos  - Page 3 Image
    Jack Mac Donagh dans une publication de Nîmes Olympique lors de la saison 1986-87 • archives privées NJ

    Un AVC à 60 ans

    L’ancien Crocodile peut alors profiter paisiblement de sa retraite. Mais en 2022, sa vie bascule quand il retourne sur sa terre natale pour fêter ses 60 ans. L’occasion est belle de retrouver ses amis et de faire une jolie fête. Deux jours après son arrivée en Irlande, il est victime d’un AVC (accident vasculaire cérébral) et il est pris en charge quotidiennement dans un établissement spécialisé. La nouvelle attriste les fans de football irlandais, car l’ancien nîmois est très connu sur son île.

    Les footballeurs irlandais se mobilisent

    Au mois d’avril dernier, d'anciens coéquipiers de Jack entament une série d’activités pour collecter des fonds afin d’aider au financement des soins de l’ancien international. De son côté, Shamrock Rovers FC, le plus grand club irlandais avec qui Jack a été sacré quatre fois champion, organisera un grand tournoi de golf le 22 août, toujours pour soutenir McDonagh. Aux collectes, s’ajoute une soirée animée par Niall Quinn, l’ancien joueur de Manchester City et Arsenal. Quant à la presse irlandaise, elle évoque régulièrement la situation de l’ancien nîmois.

    Les ex crocos  - Page 3 Image
    McDonagh. (avant son AVC)

    « Il est tombé amoureux du Nîmes Olympique »

    « Il aime beaucoup parler de sa carrière et il garde un très bon souvenir du stade Jean-Bouin. Il adore l’ambiance dans la ville de Nîmes, qu’il trouve très chaleureuse. Il est tombé amoureux du Nîmes Olympique. Il se souvient du fameux maillot orange BIC. Il a quitté le NO à regret », souligne son fils Jean-Baptiste. Pour faire travailler sa mémoire, Jack apprécie de parler de football et de regarder des photos de sa carrière et particulièrement de l’époque où il était un Crocodile. « Ça lui fait du bien ».
    Les anciens du Nîmes Olympique ne l'oublient pas

    À Nîmes, ses anciens coéquipiers gardent un bon souvenir de l’Irlandais et l’Amicale des anciens du Nîmes Olympique pourrait bien manifester son soutien à l’occasion d’une rencontre face à l’Olympique de Marseille au mois de septembre. Voilà qui réconfortera certainement Jack McDonagh, l’Irlandais qui a toujours gardé Nîmes Olympique dans un coin de son cœur.

    Source : Norman Jardin sur OG
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    Message par Admin Jeu 27 Juil - 3:52

    Vends des maillots et tee shirts historiques et collectors de joueurs et supporters nîmois. Croco 72 administrateur du site (0693974653)

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    Maillot coupe de la ligue de Benoît Poulain capitaine

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    Maillot d’Abdouraouf Zarabi à 89€


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    tee shirt noir historique collector saison 2018-2019 en ligue 1 du Nîmes Olympique à 49€ !

    Divers polos et tee shirts du fan du NO

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